Le marocain Majid Bekkas est un des représentants les plus éblouissants de la musique gnaoua. Après une première partie en présence de la Chaouki Gnaoua Family, trois musiciens d’exception sont invités pour une seconde partie, « fusion » : Hamid Drake, Émile Parisien, et Aly Keïta.
Dans le cadre du festival Sons d'Hiver.
On la dit rituelle, liturgique et poétique, la musique gnaoua plonge ses racines dans les terres du Maroc et dans les royaumes d’Afrique de l’Ouest. Seule certitude, elle fascine et va droit à l’âme des gens, dans le monde entier. Le marocain Majid Bekkas, un des représentants les plus éblouissants du gnaoua moderne, a trouvé les moyens les plus variés de faire interagir cette musique mystique avec d'autres genres.
Après une première partie afro-gnaoua, en présence de la Chaouki Gnaoua Family, trois musiciens d’exception sont invités à rejoindre la transe pour une seconde partie, « fusion » : le génial batteur américain Hamid Drake, le saxophoniste Émile Parisien, artiste de l’année aux Victoires du Jazz 2014, et le monument du balafon, l’ivoirien Aly Keïta.
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