Une femme, trois hommes. Dans un espace universel, sensuel, chaud et humide. Un huis clos à quatre en quatre tableaux.
Ils vont s’apprendre, s’interroger, se déchirer, s’apprivoiser pour explorer leurs visages, leurs regards portés sur eux-mêmes.
D’après Autoportrait d’Edouard Levé.
« Avec la brillance d’une comète, chaque passage de Guesch Patti sous les feux de la rampe est l’occasion de s’extasier encore et toujours sur l’étendue des talents d’une artiste qui aura passé sa carrière à déjouer toutes les tentatives de classification. [...] Rien d’étonnant alors qu’en signant sa première chorégraphie titrée Re-Vue, elle se retrouve telle une girl de Music-Hall, entourée de trois boys. Utilisant les mots de l’écrivain Edouard Levé à la manière d’un cheval de Troie, Guesch Patti la pudique nous livre ici le plus touchant des autoportraits. » Les Inrockuptibles, janvier 2015
« La Guesch fragile évolue dans son habit de scène noir, ample jupe, haut vaporeux. Re-Vue c’est un peu son portrait en creux avec des mots de l’écrivain, Edouard Levé. Une femme parfois à la dérive, souvent touchante. Ne cherchez pas la grande danse : ici la gestuelle est avant tout un langage pour dire de petites émotions.(…) Un spectacle afin d’explorer la différence entre l’idée que l’on a de soi et ce que les autres y voient ». Les Echos.fr, Philippe Noisette, 11 avril 2014
excellent
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