Neuf étudiants en théâtre, déboussolés face au monde actuel, décident de préparer une révolution.
Un groupe d'étudiants de la Comédie Saint-Étienne décide d'arrêter de faire du théâtre pour préparer une révolution.
Les préparatifs sont l’occasion pour eux de se découvrir, de questionner leur existence et d'imaginer un monde dans lequel ils ont envie de vivre.
En l'absence de modèles contemporains, ils font appel à de grandes figures du siècle dernier. Ils s’activent, s’animent, tombent amoureux, se blessent et se découvrent dans cette comédie qui dépeint une génération de jeunes en quête de sens face au monde actuel.
Une question reste centrale : quel rôle le théâtre a-t-il à jouer dans notre rapport au monde ?
Les jeunes sont vraiment "dedans" mais moi suis restée en dehors de cette fureur qui me faisait penser aux "meilleures" heures d'un meeting révolutionnaire. Le théâtre, en ce qui me concerne, n'est pas le lieu d'une agitation frénétique mais le sanctuaire des émotions, de la poésie et la littérature. Tout ce qui se veut sociétal, engagé, voire enragé m'ennuie et ne m'apporte rien car j'ai la télé pour ça. Le jeu des jeunes comédiens n'est absolument pas en cause, ils sont plus vrais que nature, mais je n'ai pas la fibre révolutionnaire, encore moins contemporaine lorsqu'elle flirte avec es tendances du moment. Je ne suis pas de ce siècle, mais je ne me soigne pas aux génériques de la "modernité".
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Les jeunes sont vraiment "dedans" mais moi suis restée en dehors de cette fureur qui me faisait penser aux "meilleures" heures d'un meeting révolutionnaire. Le théâtre, en ce qui me concerne, n'est pas le lieu d'une agitation frénétique mais le sanctuaire des émotions, de la poésie et la littérature. Tout ce qui se veut sociétal, engagé, voire enragé m'ennuie et ne m'apporte rien car j'ai la télé pour ça. Le jeu des jeunes comédiens n'est absolument pas en cause, ils sont plus vrais que nature, mais je n'ai pas la fibre révolutionnaire, encore moins contemporaine lorsqu'elle flirte avec es tendances du moment. Je ne suis pas de ce siècle, mais je ne me soigne pas aux génériques de la "modernité".
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