Après Les Barbares, Eric Lacascade mène sa troupe dans une nouvelle création d'après Gorki toujours, Les Estivants. Mise en scène remarquable, comédiens éblouissants, scénographie inventive : un spectacle à ne pas manquer !

Après Les Barbares, Eric Lacascade mène sa troupe dans une nouvelle création d'après Gorki toujours, Les Estivants. Mise en scène remarquable, comédiens éblouissants, scénographie inventive : un spectacle à ne pas manquer !

Une île volcanique de l’Atlantique. La menace d’une éruption imminente contraint soudain la petite population insulaire à quitter sa terre pour l’Angleterre, le « d’hors »... La forte cohésion identitaire de la communauté résistera-t-elle à l’épreuve de l’exil ? Pierre Foviau a choisi de nous faire partager ce conte populaire et philosophique écrit dans une langue brute, inventive et poétique par l’une des auteurs les plus prometteuses du jeune théâtre britannique.

Eric Lacascade nous fait entendre la force de l'écriture de Gorki. Le spectacle, présenté dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes à Avignon l'été 2006, est magnifique. Formidable interprétation de Christophe Grégoire.

Eric Lacascade nous fait entendre la force de l'écriture de Gorki. Le spectacle, présenté dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes à Avignon l'été 2006, est magnifique. Formidable interprétation de Christophe Grégoire.

Eric Lacascade nous fait entendre la force de l'écriture de Gorki. Le spectacle, présenté dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes à Avignon l'été 2006, est magnifique. Formidable interprétation de Christophe Grégoire.

Eric Lacascade nous fait entendre la force de l'écriture de Gorki. Le spectacle, présenté dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes à Avignon l'été 2006, est magnifique. Formidable interprétation de Christophe Grégoire.

Lieu : 32, rue des Cordes à Caen. A la fin de l’avant-dernier siècle apparut, avec l’américain Tanner, un spectacle nouveau : le jeûne en public. Le Larousse du XXe siècle en six volumes en fait état et cite quelques champions… Le phénomène inspire à Kafka une fulgurante nouvelle, Un artiste de la faim, dont le propos trouve des résonances certaines dans notre société du spectacle.

Une petite communauté de voisins et d'amis se réunit dans la maison de campagne d'Anna Petrovna pour fêter le printemps et les retrouvailles après une longue et solitaire traversée de l'hiver. Platonov est aimé de toutes les femmes, lui-même se découvre amoureux de chacune d'elles. Anna Petrovna, jeune veuve, suscite le désir de tous les hommes mais elle ne veut que Platonov. La province russe, l'appel de lointaines villes, les pères désœuvrés et sans projet, les ambitions trahies, l'ennui, l'argent,... L'agonie d'un monde…

Ce spectacle se jouera à Avignon, baraque Chabran.
Il y aurait deux pièces et une au milieu. Pour cela, nous choisirions un même espace et l’atelier voisin. Le grand espace pour les deux pièces, l’atelier pour le Cercle de famille. Trois espaces vides. Il s’agirait donc d’une traversé