L’Orchestre La sourde s’attèle à créer une symphonie particulière : une symphonie dont chacun des mouvements serait façonné par les histoires, les récits de personnes volontaires qui ont raconté aux musiciens leurs « miracles », ces signes de l’invisible qu’ils ont perçus.

Dans la longue série des concertos qui ont traversé les trois derniers siècles, réjouissons-nous aujourd’hui d’une nouveauté : le concerto qui donne de la voix et fait valoir ses humeurs musicales, le concerto contre. Contre piano et contre orchestre.

Canti est une pièce chorégraphique. Canti est une poésie du combat, de ce qui passe et s'en va à la mort, et de ce qui demeure. À partir de 6 ans.

Quelques dates seulement pour découvrir cette création mondiale. Wolfgang Mitterer reprend un livret écrit en 1627 d’après Les Métamorphoses d’Ovide avec une nouvelle musique aux touches électroniques. Dans une magnifique et ingénieuse mise en scène d'Aurélien Bory.

Dans la longue série des concertos qui ont traversé les trois derniers siècles, réjouissons-nous aujourd’hui d’une nouveauté : le concerto qui donne de la voix et fait valoir ses humeurs musicales, le concerto contre. Contre piano et contre orchestre.

Les Brigands et le Palazzetto Bru Zane retrouvent les Années Folles et reprennent ce grand succès de 1928 aux accents jazzy, à mi-chemin entre l’opérette et la comédie musicale. Ciselé par l’orfèvre du genre Maurice Yvain, ce spectacle complètement loufoque est une vraie bouffée d'énergie.

Après Le crocodile trompeur, Samuel Achache et Jeanne Candel composent à partir de L’Orfeo de Claudio Monteverdi et d’autres matériaux. Ils glissent du profane au sacré, font co-exister le bruit de la vie et la clarté de la mort, la puissance du mythe et la physicalité de la musique. Un spectacle très attendu.

À la veille de la Première Guerre mondiale, Schoenberg choisit une série de vers du poète symboliste Albert Giraud afin de composer Pierrot lunaire, qui va marquer l’histoire de la musique occidentale. Sans continuité narrative, mais avec un sens aigu de l’humour noir et du sarcasme, l’oeuvre peint une série de portraits grâce à une seule voix parlée et non chantée.