Laurent Pelly adapte la pièce de la dramaturge américaine Mary Chase et dresse le portrait tragi-comique d’une société dans son rapport à la folie. Jacques Gamblin, récompensé par un Molière pour ce rôle, incarne à la perfection ce personnage fantasque et attachant. Un des événements de la rentrée à ne pas rater.

Laurent Pelly adapte la pièce de la dramaturge américaine Mary Chase et dresse le portrait tragi-comique d’une société dans son rapport à la folie. Jacques Gamblin, récompensé par un Molière pour ce rôle, incarne à la perfection ce personnage fantasque et attachant. Un des événements de la rentrée à ne pas rater.

S’emparant du texte de Péguy, Frédéric Fisbach se jette dans l’écriture et oppose Le Mystère de la charité de Jeanne d’Arc à la parole de sa mère, une femme de quatre-vingt-trois ans, née au Caire, arrivée en France à dix-sept ans, devenue française à vingt-huit. Une collision frontale d’une Jeannette à une autre.

Elles sont âgées, les quatre dames assises là. Aucune nostalgie, mais un dialogue vif, cru, rapide. Elles blaguent, rient beaucoup, racontent le monde comme il est, comme il va. Et la fin de tout, l’apocalypse peut-être, apparaît comme prophétisée. un quartet féminin composé de Charlotte Clamens, Danièle Lebrun, Geneviève Mnich et Dominique Valadié.

Dans Italienne scène et orchestre, Jean-François Sivadier nous propose de suivre les répétitions de La Traviata, l’un des opéras les plus populaires de Verdi. Une rare occasion de voir ou revoir ce spectacle mythique interprété par Nicolas Bouchaud, Marie Cariès, Charlotte Clamens, Vincent Guédon, Jean-François Sivadier et Nadia Vonderheyden.

Plutôt que de monter un seul texte de Labiche, Christoph Marthaler a extrait de ses œuvres des matériaux à accommoder à sa manière inimitable. Cette fois-ci, il est parti de La Poudre aux yeux, une comédie en deux actes déjà hilarante en elle-même. En français et allemand surtitré.

Jean-François Sivadier crée l’un de ses propres textes, une bien curieuse machine à jouer, qui puise ses ressources chez la Salomé de Wilde et le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, et parcourt une variété de tons allant du lyrique au trivial, voire à la franche bouffonnerie.

Alan Bennett a ce don typiquement anglais de jouer sur le décalage entre le ton des mots et ce qui se dit réellement à travers eux. Avec une habileté diabolique, il tisse ensemble humour et tragédie dans un esprit des plus grinçants. Laurent Pelly revient avec délices à ces « têtes qui parlent ».

Alan Bennett a ce don typiquement anglais de jouer sur le décalage entre le ton des mots et ce qui se dit réellement à travers eux. Avec une habileté diabolique, il tisse ensemble humour et tragédie dans un esprit des plus grinçants. Laurent Pelly revient avec délices à ces « têtes qui parlent ».

Pièce autobiographique qui touche à l’universel de la passion amoureuse, Partage de midi est mise en scène et jouée par quatre acteurs […]. Une langue originale pour dire le conflit des désirs contradictoires qui animent la femme et l’homme dans la relation amoureuse, à l’apogée de la passion, et la souffrance insupportable du manque que crée la séparation.