Christophe Tarkos

Christophe Tarkos

Christophe Tarkos (Marseille, 1963 - Paris, 2004), poète, auteur de performances. Nombre de ses textes ont paru en revue, entre autres dans Java, Action poétique, Doc(k)s, Le Jardin Ouvrier, Revue de littérature générale, Nioques.

Il a fondé avec Katalin Molnár la revue Poézi prolétèr, avec Charles Pennequin, Vincent Tholomé, Nathalie Quintane la revue Facial et a codirigé la revue Quaderno avec Philippe Beck.

Il a notamment publié Oui (1996), Le Bâton (1997), L’Argent et La Cage (1999), Ma langue (2000) chez Al Dante, Caisses (1998), Le Signe (1999), PAN (2000), Anachronisme (2001) chez P.O.L, Processe (Ulysse fin de siècle, 1997), La Valeur sublime (Le Grand Os, 1998).

Il a participé au recueil collectif Ouvriers vivants publié en 1999 aux éditions Al Dante en soutien aux ouvriers sans papiers. C’est le poème tiré du recueil Ouvriers vivants qui donne son titre au spectacle joué en 2007 à Bagneux, comprenant également deux textes extraits de PAN et seize poèmes de Caisses.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Christophe Tarkos

Ma Misanthrope

Théâtre Dunois, Paris

du 8 au 16 avr. 2022
1h15
CLASSIQUE Avec les ados Comédie de moeurs Terminé
  • De : Molière, Christophe Tarkos, Nelly Arcan
  • Mise en scène : Agnès Bourgeois
  • Avec : Valérie Blanchon, Agnès Bourgeois, Sylvie Debrun, Corinne Fischer, Muranyi Kovacs, Jeanne Peylet

Dans ce spectacle qui commence par le Misanthrope de Molière, c’est par la parole que tout arrive, c’est la parole qui détruit, c’est la parole qui fait corps. À partir de 15 ans.

 

Un endroit frais dans la cervelle

Echangeur, Bagnolet

du 1 au 10 avr. 2015
1h15
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Christophe Tarkos
  • Mise en scène : Thierry Bordereau
  • Avec : Pierre Grammont, Bruno Fleutelot
69 fragments en forme de carrés disposés au centre de la page. Des instantanés de paroles vives en caisses, en boites ou en cubes. C'est souvent drôle, cocasse.
Tu tiens sur tous les fronts !

Théâtre de la Commune, Aubervilliers

du 6 au 21 déc. 2012
1h15
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Christophe Tarkos
  • Mise en scène : Roland Auzet
  • Avec : Pascal Duquenne, Hervé Pierre
Le projet, c’est l’histoire d’une rencontre, d’un choc entre deux mondes. La question sur le plateau pourrait être aussi de prendre en charge un être « autre ». Deux hommes face à face. Face à leur différence et face au monde. Des émotions, de l’humour, une poésie faciale qui glisse sur le langage, qui n’a plus d’autre fond que la surface des mots.
L'argent

Gaîté Lyrique, Paris

du 19 au 23 sept. 2012
55 minutes
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Christophe Tarkos
  • Mise en scène : Anne Théron
  • Avec : Stanislas Nordey, Akiko Hasegawa
Anne Théron et Christian Van der Borght proposent un spectacle entre concert, chorégraphie ou purs moments de performance qui décortique jusqu'à l'os et dénonce avec une évidence tranquille et perturbante le nerf de la guerre : l'argent. Le spectateur est emporté dans un spectacle où la parole et le corps s’opposent à l’univers virtuel. Avec Stanislas Nordey et Akiko Hasegawa.
La forêt pendue à un arbre

Nouveau Gare au théâtre, Vitry-sur-Seine

du 21 au 25 juil. 2010
50 minutes
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Ghérasim Luca, Christophe Tarkos, Charles Pennequin
  • Avec : Magy Ganiko, Bruno Jouhet, Flavien Lavisse, Philippe Desclais
Dans un espace sacralisé, le corps, marqué de signes, se retrouve isolé, retrace son cycle de la naissance au baiser de la mort. Enfin il revient imprégné, ressort, ramenant vers le public une matière vivante, une intimité magique.
Ma Langue

La Loge, Paris

du 4 au 27 mai 2010
55 minutes
CONTEMPORAIN Coup de cœur Terminé
  • De : Christophe Tarkos
  • Mise en scène : Mirabelle Rousseau
  • Avec : Laurent Charpentier
La compagnie T.O.C. nous donne à voir et à entendre un montage réalisé à partir d'Anachronisme, Le Signe =, Ma Langue, Caisses de Christophe Tarkos dans un dispositif d'immersion par l'image et par le son.
Le Cri de l'oie

Maison des Arts de Créteil, Créteil

du 29 au 30 mai 2009
1h20
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • De : Benjamin de la Fuente, Christophe Tarkos
  • Mise en scène : Thierry Poquet
  • Avec : Valérie Philippin, Michel Hermon, François Mulard, Rosalind Crisp, Andres Muller
En complicité avec cinq instrumentistes d’Ars Nova, les comédiens chanteurs Michel Hermon, Valérie Philippin, François Mulard, et les danseurs Rosalind Crisp et Andreas Müller, le metteur en scène Thierry Poquet et le compositeur Benjamin de la Fuente s’emparent des textes du poète Christophe Tarkos, et livrent un spectacle déjanté, qui déroute la morosité actuelle du langage et du regard.
Je suis le hasard par coeur

Maison de la Poésie, Paris

du 16 avr. au 18 mai 2008
1h30
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Thierry Trani, Christophe Tarkos
  • Mise en scène : Patrick Zuzalla
  • Avec : Thibaut Corrion, Francisco Gil, Jeanne Vitez
Aujourd’hui, au moment même où le jeunisme et le "modèle démocratique occidental", croit-on, triomphent, Ultra-petita et Ouvrier vivant traitent chacun à leur manière d’une de ces deux disparitions et affirment : oui, la jeunesse existe, et oui, le peuple existe. Aucun romantisme ici. Simplement la force déclarative de la politique.
Je suis le hasard par coeur

Théâtre Victor Hugo à Bagneux, Bagneux

le 16 nov. 2007
1h30
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Thierry Trani, Christophe Tarkos
  • Mise en scène : Patrick Zuzalla
  • Avec : Thibaut Corrion, Francisco Gil, Jeanne Vitez
Aujourd’hui, au moment même où le jeunisme et le "modèle démocratique occidental", croit-on, triomphent, Ultra-petita et Ouvrier vivant traitent chacun à leur manière d’une de ces deux disparitions et affirment : oui, la jeunesse existe, et oui, le peuple existe. Aucun romantisme ici. Simplement la force déclarative de la politique.
Vincent Dupont - Jachères Improvisations

Théâtre de la Bastille, Paris

du 6 au 7 mai 2004
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Vincent Dupont
  • Avec : Thierry Balasse, Vincent Dupont, Yves Godin, Myriam Lebreton, Eric Martin, Christophe Tarkos
Ils sont deux. Ils sont chez eux. Ils sont de l'autre côté de la rue, du plateau. Nous sommes dans la position exacte du quatrième mur. Ils se regardent. Nous sommes chez eux mais nous sommes loin. L'un est assis, nous voyons son visage. L'autre est debout de trois-quarts dos. Ils vont parler ou se sont parlés. Si l'on prend le temps de regarder plus longuement, il se passe quelque chose qui attire l'attention d'une manière presque détournée. Qu'est-ce qu'ils regardent ? Se regardent-ils vraiment ? Ils sont pourtant dans la même pièce.