De 1976 à 1990, il joue dans une trentaine de spectacles mis en scène notamment par Pierre Debauche, Guy Parigot, Dominique Quéhec, Robert Angebaud, Bernard Lotti, Robert Mazet, Philippe Froger, Jean Le Scouarnec, Pierre Cavassilas, Guillaume Kergourlay… au Centre Dramatique National de Rennes et au Centre Dramatique Régional de Lorient.
Depuis 1990, il travaille notamment avec :
Yvon Lapous, Simplement compliqué de Thomas Bernhard
Benno Besson, Cœur Ardent d’Alexandre Ostrovski, Quisaitout et Grobêta de Coline Serreau
Matthias Langhoff, Désir sous les Ormes d’Eugene O’Neill
Dominique Pitoiset, Le Procès de Franz Kafka, Les Brigands de Friedrich von Schiller,
Le Réformateur de Thomas Bernhard
Bernard Lotti, Le Testament du chien
Christophe Rouxel, Chant d’amour pour l’Ulster
Robert Cantarella, Hamlet de William Shakespeare, Fiction d’hiver de Noëlle Renaude, Grand et Petit de Botho Strauss,
Du Matin à minuit de Georg Kaiser, Les Apparences sont trompeuses de Thomas Bernhard, Pièces
de Philippe Minyana, Le Mariage, l’affaire et la mort de Soukhovo-Kobyline,
Les Travaux et les jours de Michel Vinaver
Florence Giorgetti, Madame Ka de Noëlle Renaude
Robert Cantarella, Algérie 54-62 de Jean Magnan
2008 Voilà de Philippe Minyana, m.e.s. Florence Giogetti.
Il tourne notamment sous la direction de Pierre François Le Brun, Coline Serreau, C. Lemoine, Hervé Bablé, Sophie Tatischeff, Christiane Lehérissey et Hervé Baslé.
Il participe à une vingtaine de films réalisés par C. Dubreuil, M. Sibra, H. Baslé, M. Wyn, P. Cavassilas, B. Toublanc Michel, F. Dupont Midy, M. Gérard, O. B. Poliakoff, P.A. Picton, P. Durand, J.L. Mage, G. Corvi, P. Goutas, P. Le Flao, A. de Beaumont, D. Hannedouche, C. de Chalonges, J.F Claire et Luc Béraud.
Il participe également à des dramatiques France Culture réalisées notamment par Michel Sidoroff, Claude Guerre, Etienne Valès, Christine-Bernard Sugy, Max Cabridins et Gérard Coudert.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Centre Pompidou, Paris
Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Théâtre de l'Odéon - Ateliers Berthier, Paris
Théâtre Ouvert, Paris
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.
Nanterre - Amandiers, Nanterre
Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.
Théâtre de Gennevilliers (T2G), Gennevilliers
Théâtre du Rond-Point, Paris
Mettant en scène des anti-héros d’une tendresse désarmante, Philippe Quesne donne à voir dans La Mélancolie des dragons, un théâtre où les ficelles du spectacle sont démontées au fur et à mesure que la représentation s’élabore. Un discours de la méthode aussi drôle que délicat.
Théâtre de l'Odéon - Ateliers Berthier, Paris
Théâtre du Rond-Point, Paris