Les tentatives de Molin et Molette, duo clownesque incarné par Emma Morin et Gaël Guillet, pour élever des ressorts et fabriquer du silence se heurtent bien vite à la résistance tenace des objets et des mots. Une performance jubilatoire où se frottent savoir et ignorance, respect de la norme et joyeuse indiscipline. Mise en scène Pierre Meunier. Dès 6 ans.

Les tentatives de Molin et Molette, duo clownesque incarné par Emma Morin et Gaël Guillet, pour élever des ressorts et fabriquer du silence se heurtent bien vite à la résistance tenace des objets et des mots. Une performance jubilatoire où se frottent savoir et ignorance, respect de la norme et joyeuse indiscipline. Mise en scène Pierre Meunier. Dès 6 ans.

Après Listen To Me de Gertrude Stein, présenté au Théâtre de la Bastille en 2009, Emma Morin revient avec Nothing To Do.

Ecouter un texte de Gertrude Stein, c'est accepter de lâcher prise, entrer dans un rapport rythmique et organique à la langue. Emma Morin est comédienne, passionnée par l'oralité. Elle a aussi une formation musicale et une grande sensibilité aux arts plastiques. La rencontre avec Gertrude Stein, écrivain, mécène, toujours en quête de formes nouvelles, s'imposait comme une évidence. Une joyeuse évidence.

C’est une cérémonie improvisée, un appel qui tient de la magie et de la science. Ce sont des couleurs invisibles et qui chantent. Ce voyage dans Les Illuminations de Rimbaud donne à vivre plus que donne à voir. La seule consigne que suivent les comédiens est de parler « en Rimbaud ».

Depuis 1983, Christian Rist, dans le cadre du Studio Classique, poursuit son exploration du répertoire de langue française, de Corneille à Novarina, ou de Malherbe à Ponge et Beckett. Dans Phèdre, “le parti pris d’une clarification toute musicale du texte conduit à des émotions, des vertiges, des dépaysements inusités” (Libération). Sous un vaste dais de toile blanche, de part et d’autre d’une étroite passerelle où, en funambules, évoluent les interprètes, les spectateurs sont conviés à entrer dans la brûlante intimité d’une passion inavouable.

Depuis 1983, Christian Rist, dans le cadre du Studio Classique, poursuit son exploration du répertoire de langue française, de Corneille à Novarina, ou de Malherbe à Ponge et Beckett. Dans Phèdre, “le parti pris d’une clarification toute musicale du texte conduit à des émotions, des vertiges, des dépaysements inusités” (Libération). Sous un vaste dais de toile blanche, de part et d’autre d’une étroite passerelle où, en funambules, évoluent les interprètes, les spectateurs sont conviés à entrer dans la brûlante intimité d’une passion inavouable.