Vaclav Luks et ses troupes virtuoses du Collegium 1704 redonnent à cette partition le brillant qui la distingue, avec la complicité d'excellents solistes et du metteur en scène David Radok, pour une tournée européenne qui s'annonce flamboyante. Spectacle en italien surtitré.

La direction électrisante de Leonardo García Alarcón, et l’engagement total de ses interprètes (chœur intense et solistes éblouissants), servent magistralement le Nabucco de Falvetti, partition riche et contrastée, subtile et sensuelle, qui fait revivre le drame comme un véritable opéra sacré ! A la Chapelle Royale.

Skip Sempé a commémoré en 2014 l’année Rameau en récréant, avec le Capriccio Stravagante Les 24 Violons et le Collegium Vocale Gent, les œuvres entendues lors des cérémonies funèbres de Rameau en 1764. Ce programme n’inclut pas seulement la Messe des morts de Jean Gilles, version 1764, mais également de magnifiques extraits de Castor et Pollux et de Dardanus.

C’est avec les Passions écrites pour la Semaine sainte que Jean-Sébastien Bach – alors « Cantor » des églises de Leipzig – atteint des sommets d’expression donnant une réelle force dramatique aux textes de l’Evangile. La Passion selon saint Jean est ici servie par les ensemble Aedes et Les Surprises, fiers représentants de cette nouvelle génération d’interprètes, fidèles tant à la lettre qu’à l’esprit du répertoire baroque.

La direction électrisante de Leonardo García Alarcón, et l’engagement total de ses interprètes (chœur intense et solistes éblouissants), servent magistralement le Nabucco de Falvetti, partition riche et contrastée, subtile et sensuelle, qui fait revivre le drame comme un véritable opéra sacré ! A la Chapelle Royale.

Elena n’a plus été représentée depuis le siècle qui l’a vue naître. De sorte que le spectacle du Festival d’Aix-en-Provence constitue sa première production scénique depuis le XVIIe siècle. C’est pour ressusciter ce jeune chef-d’oeuvre de 350 ans que treize chanteurs mis en scène par Jean-Yves Ruf et la Capella Mediterranea dirigée par Leonardo García Alarcón nous rejouent l’enivrante mélodie du désir tout-puissant.

Version de concert mise en espace. Les Arts Florissants viennent à Versailles interpréter deux chefs d’œuvres « de cour », deux opéras de chambre dont la beauté reste éclatante, pour deux mythes d’exception : les Amours de Vénus et Adonis et celles d’Orphée et Eurydice.