Éric Ruf, sociétaire de la Comédie-Française, donne à la troupe l’occasion de s’attaquer à la démesure mythique de cette pièce norvégienne dans un dispositif bi-frontal qu’il crée dans le Salon d’honneur du Grand Palais.

Père/Fils, un solo d'acteur tragique mais non moins humoristique qui mêle et fait dialoguer deux textes de Kafka : onze fragments de la Lettre au père avec onze portraits du récit des Onze fils.

Que reste-t-il du théâtre une fois qu’on a tout montré, l’envers et l’endroit du décor, les coulisses et le cœur du spectacle   L’énigme demeure entière. Corneille fait de l’illusion comique une traversée des apparences qui nous mène du grotesque au sublime.

Que reste-t-il du théâtre une fois qu’on a tout montré, l’envers et l’endroit du décor, les coulisses et le cœur du spectacle   L’énigme demeure entière. Corneille fait de l’illusion comique une traversée des apparences qui nous mène du grotesque au sublime.

Un jeune homme est l’amant d’une fille qui est aux mains d’un odieux maquereau, entouré de ses esclaves et de ses putains, qu’il exploite et brutalise. Mais grâce aux ruses inouïes et aux inventions vertigineuses de Pseudolus, son esclave, le jeune homme récupère la fille et le maquereau en est pour ses frais.