Souhaitant s’adresser à la jeunesse à travers un spectacle résolument tout public, Madeleine Louarn et Jean-François Auguste s’emparent du troisième voyage de Gulliver avec l’Atelier Catalyse, troupe permanente du Centre National pour la Création Adaptée réunissant des artistes en situation de handicap.

Souhaitant s’adresser à la jeunesse à travers un spectacle résolument tout public, Madeleine Louarn et Jean-François Auguste s’emparent du troisième voyage de Gulliver avec l’Atelier Catalyse, troupe permanente du Centre National pour la Création Adaptée réunissant des artistes en situation de handicap.

Souhaitant s’adresser à la jeunesse à travers un spectacle résolument tout public, Madeleine Louarn et Jean-François Auguste s’emparent du troisième voyage de Gulliver avec l’Atelier Catalyse, troupe permanente du Centre National pour la Création Adaptée réunissant des artistes en situation de handicap.

Une plongée dans l'univers étrange, inquiétant et souvent énigmatique de Franz Kafka par les comédiens handicapés de l’atelier Catalyse. On y voit comment le désir d’intégration nous désarme et laisse la voie libre aux mécanismes de domination.

Madeleine Louarn et les comédiens handicapés mentaux de Catalyse mettent Louis II de Bavière au coeur de leur spectacle. Ils explorent les fantasmes et les rêves de ce roi romantique, sa recherche absolue d’une vie qui touche au sublime, les contradictions profondes qui l’habitent, son retrait progressif de la vie réelle pour un monde de fiction.

Dans un univers crépusculaire, l’incroyable intensité des acteurs handicapés mentaux happe le spectateur et fait vibrer le mystère. Chaque pas, chaque mot, chaque geste, rien ne s’accomplit d’évidence et pourtant l’on est suspendu, attentif, presque sur scène, tant la présence des interprètes si fragiles irradie le texte. Samuel Beckett serait il plus que tout un poète ?

Voici ce que Madeleine Louarn et les acteurs de Catalyse demandent au théâtre : montre-nous qu’est-ce que construire l’autorisation à être. Fais apparaître que c’est un acte de rêverie et de courage pour nous tous. Et prouve que c’est possible.

Alice ou le monde des merveilles explore le champ poétique proposé par Lewis Carroll : c’est un rêve, mais aussi un cauchemar, un monde souterrain, auquel on accède par un terrier… et, comme dans les rêves, il faut accepter de ne pas tout maîtriser. Images et impressions, sont sens dessus dessous, mêlées et entremêlées. Dans le cadre du Festival d'automne à Paris.

Dans un univers crépusculaire, l’incroyable intensité des acteurs handicapés mentaux happe le spectateur et fait vibrer le mystère. Chaque pas, chaque mot, chaque geste, rien ne s’accomplit d’évidence et pourtant l’on est suspendu, attentif, presque sur scène, tant la présence des interprètes si fragiles irradie le texte. Samuel Beckett serait il plus que tout un poète ?