Wakatt est une pièce chorale et puissante. À l’heure où les murs se dressent entre les peuples, cette œuvre invite à la résistance et à l’ouverture vers un avenir commun et plus généreux.

Serge Aimé Coulibaly réunit danseurs, chanteuses, musiciens, narrateur et figurants pour réinterpréter les mythes mandingues, sur une musique de Rokia Traoré. Un hommage aux épopées vertigineuses que des hommes ont entrepris.

Pour sa cinquième programmation au Tarmac, le chorégraphe et danseur burkinabè Serge Aimé Coulibaly choisit de rendre hommage à Fela Kuti, le chanteur nigérian emblématique, sur scène et hors-scène. Fela, l’artiste provocateur aux propos dérangeants, aux actes subversifs, au génie enfiévré…

Pour sa cinquième programmation au Tarmac, le chorégraphe et danseur burkinabè Serge Aimé Coulibaly choisit de rendre hommage à Fela Kuti, le chanteur nigérian emblématique, sur scène et hors-scène. Fela, l’artiste provocateur aux propos dérangeants, aux actes subversifs, au génie enfiévré…

5 jours pour découvrir la nouvelle génération de la danse contemporaine en Afrique ! De Ouagadougou à Niamey, en passant par Tunis ou Dougar, cette génération a grandi à travers une danse nouvelle : créative, insoumise et toujours engagée. La plupart de ces créations seront programmées pour la première fois en France.

Ouagadougou, le chorégraphe burkinabè Serge Aimé Coulibaly la connaît bien. Il y est chez lui. Pourtant par deux fois, le 20 décembre 2006 puis le 14 avril 2011, le destin du pays sembla basculer. Des coups de feu, des cris, des bruits de bottes… Ce sont ces deux nuits de troubles qui ont amené la création de ce spectacle. Deux nuits et une troisième, celle imaginée de la veille des élections qui, en 2015, donneront, peut-être, un nouveau président au Burkina Faso.

Serge-Aimé Coulibaly met en gestes ses quatre comparses danseurs, sur la musique blues complice de Khanzaï et la voix mandingue de Djénéba Koné. Six artistes à la recherche du neuf.

L’énergie qui traverse Babemba tient les corps dans une danse célébrant avec justesse les luttes que menèrent quatre grandes figures africaines. Le Ghanéen Nkrumah, le Congolais Lumumba, le Burkinabé Sankara, le Sud-Africain Nelson Mandela sont mis en scène dans des chorégraphies de Serge Aimé Coulibaly qui font vibrer avec une égale et troublante intensité douleurs et espoirs du continent noir. Une très grande réussite.

L’énergie qui traverse Babemba tient les corps dans une danse célébrant avec justesse les luttes que menèrent quatre grandes figures africaines. Le Ghanéen Nkrumah, le Congolais Lumumba, le Burkinabé Sankara, le Sud-Africain Nelson Mandela sont mis en scène dans des chorégraphies de Serge Aimé Coulibaly qui font vibrer avec une égale et troublante intensité douleurs et espoirs du continent noir. Une très grande réussite.