Mano en solo c’est l’histoire d’une solitude, celle d’un homme condamné par la maladie... c’est aussi celle d’un combat, celui d’un artiste hors norme, déchiré et ivre de vie, prêt à en découdre avec le destin jusqu’à son dernier souffle.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, Mises en Capsules c’est 15 créations originales d’une demie heure, 5 spectacles par soir sur 3 soirées différentes. On achète un billet pour la soirée ou un Pass pour le festival, et après c'est un buffet à la carte. Chaque spectacle dure 30 minutes, il y a un entracte d'un quart d'heure entre chaque. Un quart d'heure où le bar est ouvert et sert un savoureux punch, où une exposition s'étend sur les murs du théâtre, où le public peut sortir et goûter ce petit coin de campagne à Paris qui entoure le Ciné 13 théâtre. Une cloche sonne et la soirée continue...

Bien avant d'être une icône, bien avant d'être consacré vache sacrée de la chanson française, Jacques Brel est, comme il se définissait lui même, un sale gosse, enragé dans les sixties, paumé dans un monde d'adulte qu'il ne comprend pas.

Bien avant d'être une icône, bien avant d'être consacré vache sacrée de la chanson française, Jacques Brel est, comme il se définissait lui même, un sale gosse, enragé dans les sixties, paumé dans un monde d'adulte qu'il ne comprend pas.

À la suite d’un naufrage, Iphicrate et son esclave Arlequin échouent sur l’île des esclaves. Là, les règles du jeu social sont changées. Les maîtres deviennent esclaves et les esclaves deviennent les maîtres. Voici donc un petit territoire merveilleux ou cauchemardesque suivant la condition initiale de chacun... !

Le projet de réhabilitation du Chaperon Vert a fait naître cette idée de musique et de théâtre au coeur de la cité. La rencontre des artistes et des habitants a nourri l'écriture de ce spectacle où s'entremêlent et s'entrecroisent les craintes de chacun, les espoirs et les rêves…

Le projet de réhabilitation du Chaperon Vert a fait naître cette idée de musique et de théâtre au coeur de la cité. La rencontre des artistes et des habitants a nourri l'écriture de ce spectacle où s'entremêlent et s'entrecroisent les craintes de chacun, les espoirs et les rêves…

Jonathan Livingston est un goéland pas comme les autres. Ses parents, les autres membres de son clan, ne voient pas plus loin que le bout de leurs ailes. S’ils volent, c’est uniquement pour se nourrir. Jonathan, lui, vole pour son seul plaisir. Et en volant toujours plus haut, toujours plus vite, et malgré la désapprobation de ses congénères, il sait qu’il découvrira un sens noble à la vie.

Voici un clown, un vrai, ça fait du bien. Laurent Laurent, à la fois auteur et personnage, c’est notre clown. Il est la part de chacun d’entre nous, inapte à la vie quotidienne, qui ne s’accommode pas des centaines d’objets, de procédures, d’attitudes, de discours, voire de personnes que nous subissons sans broncher en enfouissant au fond de nous-mêmes une future révolte, un jour, « quand on aura le temps ».

Un petit employé de Wall Street défait le monde qui l’entoure, pierre après pierre, en déclarant « préférer ne pas faire » ce qu’on lui demande. Bartleby le scribe laisse entrevoir l’absurdité d’un monde que nous « préfèrerions » ne pas voir.