À partir de 8 ans.
Cinq circassiens de cultures et de nationalités différentes, tout en puissance et en fragilité, s’envolent, glissent, tombent, se redressent et recommencent, encore et encore. En interrogeant le rapport de chacun à leur agrès – fil, danse-acrobatie, jonglage, sangles, cerceau –, Raphaëlle Boitel questionne avec poésie le quotidien de ces artistes et dessine les équilibres fragiles au cœur de leur art. Dans un travail chorégraphique millimétré, 5es Hurlants est un hommage au cirque et aux valeurs qu’il représente. Comment la persévérance rend possible l’impossible. Une parabole métaphorique de la vie dans laquelle la force de se relever incarne la rage de vivre, seul ou ensemble… Dans une atmosphère de clair-obscur, c’est beau comme du Verdi, émouvant comme du Bach, dont on entend passer les notes ailées.
« À travers la répétition de leur quotidien de circassiens, ils s'interrogent sur les questions de danger, d'équilibre, d'éternel recommencement… Ils glissent, tombent, se relèvent, réinventent un monde. Avec son goût pour les ambiances baroques et les mises en scène théâtrales, Raphaëlle Boitel a concocté une création pleine de souffle. » Télérama
« Une réflexion pleine de sensibilité sur l’équilibre et le déséquilibre, la chute et la persévérance. Car, c’est avant tout la vie qui s’exprime par le biais de cette succession de tableaux performatifs, poétiques, chorégraphiques, climatiques. Et quand une jeune artiste effectue dans les airs de vertigineuses arabesques, aidée en cela par les tractions conjuguées du reste de la troupe, la beauté d’une forme de communion se mêle à la prouesse technique de l’exercice. C’est finalement ça, « 5es Hurlants ». Des moments d’espoirs et de difficultés partagés qui, à travers l’exigence du cirque, laissent entrevoir nos vies dans ce qu’elles ont d’incertain, de fragile et de grand à la fois. » La Terrasse - Manuel Piolat Soleymat
« C’est sensible, émouvant drôle, intelligent, remarquable. De la pénombre grise émergente quelques projecteurs, des chaises de velours rouge, deux ou trois balles semblables à des oranges, un cerceau suspendu, un fil de fer tendu entre deux mats… toute une ambiance de cirque encore vide. Les spectateurs, présents dans la salle vont découvrir l’envers du décor. Celui de l’apprentissage, de la préparation d’un numéro, de la peur d’échouer, de la solidarité intime de la piste. » Gérald Rossi, L'Humanité
« Ici, sans un mot, avec le langage des corps, on nous parle de création artistique avec la belle et noble inspiration d’un cirque traditionnel qui aurait des velléités d’émancipation, un léger souffle de comédie italienne prompt à colorer la vie, quelques nuances de cet expressionnisme allemand qui touche au plus profond des coeurs. Avec des numéros magiques, une lumière, une musique et une chorégraphie aux petits oignons, Raphaëlle Boitel et ses personnages, unis dans une même inlassable aventure humain, ont régalé un public qui n’a pas boudé son plaisir. » Courrier de l'Ouest
Une mise en scène sensible qui magistralement nous dévoile la face cachée de l'artiste face à son agrès, comme miroir la vie :courage, force, obbstination, peurs, démons, fuite, joie, encouragement ,soutien ;tout y est . Un spectacle plein de force qui met en lumière nos notre humanité avec humilité. . Si vous avez le courage de vos émotions ce spectacle est pour vous, enjoy ;o)))
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Une mise en scène sensible qui magistralement nous dévoile la face cachée de l'artiste face à son agrès, comme miroir la vie :courage, force, obbstination, peurs, démons, fuite, joie, encouragement ,soutien ;tout y est . Un spectacle plein de force qui met en lumière nos notre humanité avec humilité. . Si vous avez le courage de vos émotions ce spectacle est pour vous, enjoy ;o)))
13, boulevard de Strasbourg 75010 Paris