Légende du rap français, Kery James est aussi reconnu pour ses pièces engagées. Après le succès d’À vif, il revient avec un nouveau spectacle, accompagné à la mise en scène et à la scénographie par Marc Lainé.
Légende du rap français, Kery James est aussi reconnu pour ses pièces engagées. Après le succès d’À vif, il revient avec un nouveau spectacle, accompagné à la mise en scène et à la scénographie par Marc Lainé. Il fait suite à sa première pièce qui voyait s’affronter deux jeunes avocats issus de « deux France » différentes.
Pour À huis clos, il retrouve et incarne son personnage fétiche de Soulaymaan, au cœur d’une France meurtrie par une justice défaillante. Après le meurtre de son grand frère par la police, le jeune avocat décide de se faire justice lui-même et prend en otage le juge qui a innocenté l’assassin de son frère. Un débat acharné sʼengage, questionnant aussi bien la démocratie, lʼamour ou le pardon.
Sous la plume acérée de Kery James, sʼaffrontent alors deux visions du monde au cœur d’un passionnant théâtre politique.
« Les mécanismes sourds des violences policières et des rapports de domination sociale se traduisent dans une langue brute et poétique que le duo soudé, formé avec Jerôme Kircher, porte haut. Kery James est magistral, Jérôme Kircher, imbattable dans la gestion de l’évolution de son personnage […]. Le public lui n’attend qu’une chose : applaudir la prise de parole, ce qu’il s’empresse de faire à tout rompre une fois le dernier mot, vaillant, prononcé. » La Terrasse
Si je devais "noter les idées", la copie aurait largement la moyenne car la dénonciation des violences policières est solide et argumentée. Mais cela n'a pas suffi pour m'empêcher de somnoler pendant la première heure, à cause - un peu - d'une écriture bien trop bavarde et - surtout - d'une mise en scène et d'une direction d'acteurs qui se traduisent par un flot abondant débité par K. James sur un même ton brutal et monotone assez lassant. Dommage !
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Si je devais "noter les idées", la copie aurait largement la moyenne car la dénonciation des violences policières est solide et argumentée. Mais cela n'a pas suffi pour m'empêcher de somnoler pendant la première heure, à cause - un peu - d'une écriture bien trop bavarde et - surtout - d'une mise en scène et d'une direction d'acteurs qui se traduisent par un flot abondant débité par K. James sur un même ton brutal et monotone assez lassant. Dommage !
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