Appréhendant de quitter tôt ou tard la scène, celle du théâtre comme celle de la vie, un acteur sur le retour, fervent amoureux de la nature, évoque des souvenirs plus ou moins fantasmés et nous livre, au gré d’un allègre méli-mélo, quelques réflexions sur la relativité de l’échec, la notion de progrès, l’avenir de l’espèce humaine, la beauté éphémère des êtres et du monde.
Saine révolte ; philosophie inquiète ; humour réjouissant, provoquant, émouvant.
« admirable » Le Monde (Michel Cournot) – 1976
« naturel » France-inter (Jean-Marc Stricker) – 1985
« tonique » Le Figaro (Pierre Marcabru) – 1988
« formidable » Le Quotidien (Armèle Héliot) – 1991
à propos de la création d’Avant-dernières Salutations au dernier Festival d’Avignon :
« tout le plaisir était pour nous » Les Trois Coups (Cédric Enjalbert) – 2008
C'est totalement inclassable, à l'opposé de toute pensée unique, que ce soit d'un point de vue artistique (c'est de l'anti-théâtre, de la sincérité maxima), d'un point de vue politique (c'est à la fois hyper-réac et au delà de l'ultra-gauche), d'un point de vue philosophique (cela réunit matérialisme et spiritualisme). Et puis surtout c'est magistralement interptété : du grand art d'acteur, une telle maîtrise du texte que cela semble inventé dans l'instant, une magique proximité avec le public. On rit aux larmes, on pleure de joie. Chapeau !
C'est totalement inclassable, à l'opposé de toute pensée unique, que ce soit d'un point de vue artistique (c'est de l'anti-théâtre, de la sincérité maxima), d'un point de vue politique (c'est à la fois hyper-réac et au delà de l'ultra-gauche), d'un point de vue philosophique (cela réunit matérialisme et spiritualisme). Et puis surtout c'est magistralement interptété : du grand art d'acteur, une telle maîtrise du texte que cela semble inventé dans l'instant, une magique proximité avec le public. On rit aux larmes, on pleure de joie. Chapeau !
8, rue de Nesle 75006 Paris