Sept chorégraphes, sept danseurs, sept chorégraphies de sept minutes… Voici le dispositif imaginé par Emilio Calcagno. Au programme : des créations d'Andrea Costanzo Martini, Olivier Dubois, Johanna Faye, Leïla Ka, Sylvère Lamotte et Rosalba Torres Guerrero.
Sept chorégraphes, sept danseurs, sept chorégraphies de sept minutes… Voici le dispositif imaginé par Emilio Calcagno. Il invite les chorégraphes Andrea Costanzo Martini, Olivier Dubois, Johanna Faye, Leïla Ka, Sylvère Lamotte et Rosalba Torres Guerrero à choisir une danseuse ou un danseur du Ballet pour créer sept duos.
Aucune thématique n’est imposée ; le créateur a carte blanche. Un principe aussi simple qu’ingénieux qui offre au public un voyage à travers des écritures plurielles, reflétant la diversité de la danse d’aujourd’hui.
Et dans la pure tradition des salons chorégraphiques, tous les artistes, présents sur scène tout au long de la représentation, en viennent à s’unir pour un flamboyant final.
Sept chorégraphies de sept minutes, fort inégales, qui n’ont pas toutes parlé à mes émotions. J’en sortirai deux du lot : « Life in Lycra » expose le rapport de force entre un chorégraphe et un danseur. Cette pièce est pleine d’humour. « Dance me » est un joli duo plein de charme sur « Dance me to the end of love ». C’est tout ; le reste, au mieux, m’a laissé indifférent, voire m’a bien ennuyé.
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Sept chorégraphies de sept minutes, fort inégales, qui n’ont pas toutes parlé à mes émotions. J’en sortirai deux du lot : « Life in Lycra » expose le rapport de force entre un chorégraphe et un danseur. Cette pièce est pleine d’humour. « Dance me » est un joli duo plein de charme sur « Dance me to the end of love ». C’est tout ; le reste, au mieux, m’a laissé indifférent, voire m’a bien ennuyé.
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