Faut-il encore présenter Carmen, l’opéra le plus joué au monde, l’une des nouvelles les plus lues de Prosper Mérimée ? Pourtant, il reste beaucoup à dire des personnages, haut en couleurs, qui peuplent ce récit.
Entre le Don José créé par Mérimée en 1845 et celui de Bizet en 1875, existe toute une palette d’interprétations. Voici ce qu’en dit l’auteur initial : « C’était une beauté étrange et sauvage. Ses yeux avaient une expression à la fois voluptueuse et farouche qu’on ne trouve à aucun regard humain. Œil bohémien, œil de loup, ou œil de chat quand il guette un moineau. »
Don José, du fond de sa prison andalouse, à quelques heures de son exécution, retrace pour nous son aventure jusqu’au meurtre de Carmen.
Un envoûtant et étonnant mariage d’opéra et de flamenco, entre piano et guitare, chant profond et fulgurances lyriques, entre récit théâtral et fiers combats d’un couple de danseurs, dans la plus pure tradition flamenco.
« Le résultat est étonnant, superbe, on assiste à une Carmen plus dépouillée, plus juste, plus forte. Les personnages centraux sont là, le récit ne se perd pas et surtout le flamenco ajoute à la véracité à l'existence des relations humaines. » Reg'Arts, juillet 2017
« Rassembler sur un même plateau, deux univers scéniques a priori différents, celui du flamenco avec celui du chant lyrique, est un pari audacieux mais magistralement gagné. » La provence, 24 juillet 2017
« Carmen Flamenco entrelace le duende archaïque du flamenco, la majesté délicate et puissante du chant lyrique, les mouvements ciselés de la danse et le récit implacable, conté par José du fond de sa prison. Une manière inédite de redécouvrir le destin tragique de la flamboyante andalouse… » Agnès Santi, La Terrasse, juin 2017
« Un drame merveilleusement raconté et chanté (…) Bravos et vivats ont ponctué la fin du spectacle. » Sud-Ouest
« Carmen Flamenco : un tour de force (…) Magnifique. » Le Dauphiné
« Un vrai coup de coeur (…) Un pari ambitieux, mais magistralement gagné. » La Provence
« Ces artistes exceptionnels, tous au diapason, embrasent la salle (…) Une grande est belle réussite pour une originale et ardente Carmen. » Froggy’s Delight
Extraordinaire spectacle mêlant théâtre, chant lyrique, et bien sûr flamenco.
Passé les premières minutes d'incertitude — où va-t-on, avec ce narrateur "illustré" par le chant et la danse ? —, le flamenco vous happe avec la belle énergie qu'il sait communiquer au spectateur : un danseur électrique, une danseuse diabolique aux renversés renversants, un chanteur à l'écoute extrêmement de tous ses comparses, un pianiste d'une subtilité réjouissante, un guitariste et un palmero à l'avenant… La partie lyrique à travers sa chanteuse tient son rang, bien sûr, mais le style n'est pas mon préféré. En tout cas, le régal est total !
Pour 2 Notes
Extraordinaire spectacle mêlant théâtre, chant lyrique, et bien sûr flamenco.
Passé les premières minutes d'incertitude — où va-t-on, avec ce narrateur "illustré" par le chant et la danse ? —, le flamenco vous happe avec la belle énergie qu'il sait communiquer au spectateur : un danseur électrique, une danseuse diabolique aux renversés renversants, un chanteur à l'écoute extrêmement de tous ses comparses, un pianiste d'une subtilité réjouissante, un guitariste et un palmero à l'avenant… La partie lyrique à travers sa chanteuse tient son rang, bien sûr, mais le style n'est pas mon préféré. En tout cas, le régal est total !
5 rue Jean Jaurès 93130 Noisy-le-Sec
Métro Ligne 11, station Mairie des Lilas, puis bus 105, arrêt place Jeanne d’Arc (Mairie) ; ligne 5, arrêt Raymond Queneau, puis bus 145 arrêt Jeanne d’Arc ou arrêt Bobigny – Pablo Picasso, puis bus 301, arrêt Jeanne-d’Arc.
Voiture (prévoir stationnement dans les rues alentours, parking payant à la Gare de Noisy-le-Sec à 8 minutes à pied du théâtre) :
Autoroute A3 de la Porte de Bagnolet vers Lille, 100 m à droite après le panneau Villemonble, suivre la direction Rosny Centre Commercial, puis Noisy-le-Sec Gare. Face à la gare, prendre à gauche la rue Jean-Jaurès. Accès facile à partir de la Porte des Lilas ou de la Porte de Pantin par Romainville.