Présentation
De l’enfance à Cartouche
Notes de mise en scène
Revue de presse
Extraits de la revue de presse du spectacle précédent
Faut du temps pour bien s’asseoir…Bon courage ! Faut du temps pour bien s’asseoir… Il y a eu ce jour où Buster Keaton est monté sur une table et s’est assis dans le vide sur une chaise imaginaire. J'ai essayé de m’asseoir. Mais bien sûr, je suis tombé… Enervé, cela m'a donné envie de danser sur Ottis Redding, sur la jolie voix de Farid Altrache, ou encore sur le funk de James Brown... Mais moi… je voulais m’asseoir dans le vide comme lui…Alors je me suis retrouvé dans un cour de danse classique, de jazz, de mime, de théâtre. Mais c’était pas suffisant. Je suis encore tombé de la chaise… Mais pour la première fois, je l’ai vu cette chaise !Le temps avance. Mon spectacle aussi, je le dessine, le stabilise, le termine. Hé ! Je vous l'avais bien dis que j’y arriverai…Et aujourd'hui je suis là, assis, comme lui, pour vous faire imaginer que cette chaise est bien là. Faut du temps pour bien s’asseoir… Cartouche
…A huit ans exactement, Cartouche est déterminé à devenir danseur, mais garde son secret jusqu’à l’âge de seize ans. Il prend alors en catimini des cours de danse classique au Conservatoire du Raincy, enchaîne au Studio Sylvie-Vartan où il reçoit une formation classique, jazz, disco. Il poursuit sur sa lancée à l’Ecole du Mime Marceau pour perfectionner sa gestuelle, et entre à l’Opéra de Marseille. Il travaille entre autre avec Rudy Bryans (Etoile Internationale) et entre dans la Ligue d’Improvisation Suisse, puis finit par intégrer la Compagnie Béjart.
Les débuts
Après trois ans dans une revue internationale, il monte des impros et crée en 1991 le personnage de Cartouche. Son premier one-man-show, « Et que tout commence », voit le jour en 1992. Il remporte le premier prix d’humour de Superdevauluy. En 1994, son second spectacle « Merci l ’obstacle » obtient le premier prix de la découverte du Festival International d ’Humour de Toulouse et le prix d’interprétation de Trouville.
Tout s’enchaîne
En 1996, il est accueilli au Théâtre de Dix Heures (Paris) où il présente un one-man-show, « La Fièvre », offrant un mélange de genres et de cultures à travers les différents moyens qu’il utilise (danse, musique, voix, lumière, mime…). Il participe au Festival du rire de Montréal.En 1997, il joue au Théâtre Trévise (Paris) sur une mise en scène de Stéphane Duclot et les lumières de Thierry Manciet. Parallèlement à cela, il poursuit sa formation d’acteur au Studio Pygmalion où il travaille avec Patricia Sterling et Pascal Luneau.
En 1998, il rencontre Charlélie Couture qui lui écrit un nouveau spectacle avec musique originale Soliloque au treizième étage qu’il jouera au Festival d’Avignon. Il entame une tournée nationale Planète Exit de septembre 1998 à janvier 1999.En 1999, c’est au tour de Tom Novembre de mettre en scène son nouveau spectacle, O Tan Tik, qu’il joue au Palais des Glaces (Paris).
En avril 2000, il est pour quatre soirées en première partie du spectacle de Dieudonné au Casino de Paris. Il poursuit en présentant Trankil ! au Théâtre de la Main d’Or de mai à juillet. Plus de trois mille spectateurs découvrent alors le savoureux cocktail d’humour, de danse et de musique (grâce au talent de DJ Mao) le tout agrémenté d’une délirante gestuelle.
Cartouche nous séduit par des spectacles endiablés, saupoudrés d'humour et d'émotion. A travers la danse, le mime et la comédie (trois disciplines qu'il maîtrise si bien), Cartouche nous invite à partager sa joie de vivre, ses doutes, ses coups de gueule et sa façon toute personnelle de « terrasser ses démons ».Pour lui une seule thérapie : l'optimisme. Personnage monté sur ressorts et à la générosité sans limite, il nous entraîne dans le tourbillon de sa vie, de son enfance à l'adulte qu'il est aujourd’hui, en posant sur le monde un regard délicat, pointu, drôle et décapant. Pour nous, Cartouche a fait de sa vie un conte urbain, donc… « il était une fois… »
Christian Garcia - metteur en scène
« Danseur ? Mime ? Comédien ? Ou bien les trois à la fois ? Une seule certitude : de l ’Opéra de Marseille au One-Man-Show en passant par l ’École du Mime Marceau et à la Ligue d ’Improvisation Suisse, Cartouche aime à chahuter les genres. » Boum ! Boum !
« Signe distinctif : a inventé une nouvelle façon de faire bouger le One-Man-Show. » Le Parisien
« Ce comique élastique tout droit sorti d ’un dessin de Tex Avery a su concevoir un spectacle original et tous publics sans tomber dans les travers de la vulgarité. » A Nous Paris
« Cartouche fait plus que raconter sa vie dans son nouveau One-Man-Show « O Tan Tik » : il la danse, la chante et la mime à la façon d ’un conte fantastique. » Le Parisien
« Frais et vif comme une bouffée d ’air pur dans un monde pollué… » Le Dauphiné Libéré
« Instants de rire et d ’émotion, polyvalence d ’un Artiste qui possède indiscutablement une présence indéniable, beaucoup de charme et surtout un talent infernal ! » Profils
« Titillant le public à souhait, à la fois mime, danseur et beau parleur, Cartouche est capable de tout. Il en fait la démonstration et ses clins d ’œil suggèrent le reste. » La Marseillaise
« Une heure de one-man-show hilarant, aérien, élégant, laconique. Quelque part entre Buster Keaton et Farid Chopel, aucun doute, ce Cartouche fait un carton. » Le Canard Enchainé
« Ce type au regard si doux, aux silences tellement concentrés, c’est le même qui, il y a moins d’une heure, gigotait dans tous les sens, en squattant la scène de tout son corps… ».(Souad Belhaddad / DS Magasine)
« Le pari de mélanger les genres était courageux. Cartouche fait mouche en touchant un public jeune, que l’on ne voit pas tous les jours applaudir des performances d’acteur».(Pierre vavasseur / Le Parisien)
« Une heure de one-man-show hilarant, aérien, élégant, laconique. Quelque part entreBuster Keaton et Farid Chopel ».(Le Canard Enchainé)
« Ce comique élastique tout droit sorti d’un dessin animé de Tex Avery a su concevoir un spectacle original et tous publics sans tomber dans les travers de la vulgarité ». ( A nous Paris )
1, avenue Junot 75018 Paris