Que faire du corps de l’ennemi ? C’est la question que pose Charogne en confrontant le cas de Tamerlan Tsarnaev, terroriste de Boston, et Polynice dans Antigone de Sophocle.
Il est mort. Le traître, le barbare : le voici à terre, hors d’état de nuire. Mais que faire du corps de l’ennemi ?
C’est de ce problème que se saisit Charogne en confrontant deux cas de cadavres laissés sans sépulture : Tamerlan Tsarnaev, co-responsable des attentats de Boston, et Polynice dans Antigone de Sophocle.
Face à ces deux charognes, défis lancés à la communauté, les vivants sont interrogés dans leur rapport à la justice, à l’altérité radicale, et jusqu’à leur définition de l’homme.
Sélection d’avis du public
Charogne
Par BENEDICTE M. - 13 février 2016 à 12h06
Jeu des comédiens excellent
Mise en scène originale et innovante
Sujets évoqués interpellants