Le 26 décembre 1897, avant-veille de la première de Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand (accompagné de sa femme et de Constant Coquelin) reçoit l’ensemble de ses amis pour leur présenter sa nouvelle pièce. Auront-ils assez de nez, pour prévoir le destin formidable de ce monument théâtral ?
« Le nez change l’homme, c’est indiscutable, tout comme les accessoires car il suffit d’une cape ou d’un chapeau pour que les rôles s’échangent. Les trois comédiens sont très à l’aise sur les planches. Il y a du respect envers l’œuvre originale mais également une vraie liberté artistique. » La Parisienne Life
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