Présentation
Le mot du metteur en scène
La presse
Vendredi, dix-huit heures, les bureaux du groupe de communication CCFA & TDWB, numéro un européen, se sont vidés. Mais dans la salle de réunion présidentielle, Éva Riedler, la directrice des stratégies, Martin Durrel, le directeur général et Fred Laugier, le directeur de la création, arrivent l’un après l’autre.
Tous trois ont reçu un mail émanant du président du groupe en personne. Ce mail informe chacun que le président l’a choisi pour devenir président associé du groupe. Le président a bien pris le soin dans son message de demander la discrétion à chacun d’eux. Voilà donc nos trois collègues et « amis », tout sourire, et impatients d’apprendre leur nomination par la bouche du président.
Des pas : tous se dressent. Entre alors François Libert, l’ex-directeur de la création, une mallette volumineuse à la main. Les visages se défont. Que fait-il là ? Simple : il sort le mail. C’est lui-même qui l’a expédié. Stupeur. Ridicule. Le président n’a jamais eu l’intention de nommer qui que ce soit président associé. Il est d’ailleurs encore à New-York !
Les trois dupes furieux veulent appeler la police. François ouvre alors sa mallette et en extrait deux Beretta. Coup de feu, un halogène explose. Tous se figent. Il menotte ses ex-collègues à leurs sièges respectifs, sort de sa mallette un ordinateur portable, une caméra, des câbles… Son installation finie, il pose sur la table un sablier. Il veut savoir qui est à l’origine de son licenciement, avant que le dernier grain ne tombe…
Un regard lucide, une dérision face à l’absurdité du monde, une générosité, un goût pour l’ellipse, le mot efficace et drôle, la ressemblance entre l’univers de Serge Adam et le mien est frappante.
Ce qui me fascine chez cet auteur c’est sa description de la férocité du
monde et en même temps sa fraternité profonde, une tendresse pour tous les
personnages embarqués dans la même aventure de vivre. J’y retrouve
Shakespeare, Goethe, Balzac, Zola, Jules Renard…
Notre première rencontre date d’au moins vingt ans, ce fut comme de
rencontrer un frère, dans ma vie rêvée d’artiste, je me suis inventé un frère
auteur.
Je vais mettre en scène, pas seulement l’héritier de la littérature classique, mais l’autre celui qui bouscule, étonne, déborde, le novateur, cette hypothèse me remplit d’espérance. Une œuvre n’est jamais ce que l’on croit savoir d’elle, mais toujours surprenante, elle vous conduit là où vous ne l’attendez pas.
Je vais porter à la pièce le même intérêt que l’auteur à François, Eva, Fred et Martin, « de vrais amis », je vais porter secours à l’être blessé, cassé.
« On rit beaucoup... Les acteurs sont géniaux... » France 3, Le Fabuleux destin - Isabelle Giordano
« Une pièce captivante par l’interprétation et la qualité des dialogues. » Metro
« Christian Vadim, féroce et drôle » Le Parisien
« L’auteur, ne manque pas de talent. Il sait faire dialoguer ses personnages sans oublier de distraire les spectateurs par de bons mots. » Le Figaroscope
« Le sujet de la pièce est croustillant : des règlements de compte entre cadres-sup au sommet de la hiérarchie d’un groupe... Excellents comédiens... » France Inter, Chronique Théâtre de Jean-Marc Stricker
« Une pièce formidable sur la nature humaine... Jubilatoire... A conseiller... » Match TV
« Allez-y ! C’est un vrai moment de plaisir... » France Inter,Le Fou du Roi de Stéphane Bern
« L’auteur sait manier la langue... Géraldine Danon est ici très bien... Roger Miremont, comme d’habitude, est parfait. » Le Figaro Magazine
« Un thriller dans le monde de l’entreprise, très humour noir... A voir absolument » France 2, Tout le monde en parle de Thierry Ardisson
« Il faut y aller... Un très bon texte d’auteur... » Europe 1, On va s’gêner, Chronique de Marianne Sergent
« Cette oeuvre est une peinture réaliste et cruelle du monde du travail mais il y a aussi de la tendresse et de l’humour... Une pièce très bien ficelée, très intelligente, qui dépeint la nature humaine... Vadim est formidable... » France 2, On a tout essayé de Laurent Ruquier
c'est gentil, cette guerre des cadres superieurs nous rappelle du vécu, des réunions où on se tire dans les pattes. Mais il ne faut pas s'attendre à rire. c'est BOF quoi.
c'est gentil, cette guerre des cadres superieurs nous rappelle du vécu, des réunions où on se tire dans les pattes. Mais il ne faut pas s'attendre à rire. c'est BOF quoi.
41, boulevard du temple 75003 Paris