En 1984, Thomas Bernhard écrit Ritter, Dene, Voss, du nom de trois acteurs allemands très célèbres dans leur pays, qui ont participé à la création de nombreuses pièces de l’auteur. En français, cela s’appelle Déjeuner chez Wittgenstein. Dene et sa sœur plus jeune, toutes deux comédiennes, vont chercher pour la énième fois leur frère, philosophe, à l’asile psychiatrique de Steinhof, pour le ramener à la maison dont ils ont hérité. Pour le guérir. La seule raison pour laquelle cette entreprise ne finit pas en catastrophe, est due à la météo : depuis trente ans, on sait dans la famille Worringer, que ce que l’on fait de mieux par un après-midi pluvieux, c’est…
Quand Thomas Bernhard fait du théâtre -le théâtre dans le théâtre, ça devient tout de suite une comédie à la Fin de partie. Ce faiseur de théâtre ne peut faire autrement parce qu’il est un des rares humoristes de la langue allemande. Et spécialement là, quand il plaisante avec l’épouvante.
Il a besoin d’une mise en scène d’une extrême clarté, d’une légèreté joyeuse, en parfait équilibre entre la comédie grise et la tragédie souriante.
Hans Peter Cloos
Tazir, si tu l'as lu, comment peux-tu savoir ce qu'on ressent quand ça n'est pas le cas? Moi je ne savais même pas qu'il y avait un livre, et ça ne m'a pas donné de migraine... J'ai adoré en 2003, et j'y retourne bientôt! Je crois qu'il est vain de comparer les adaptations ciné ou théâtre aux oeuvres littéraires originales. Le débat est vieux comme la littérature, moi je prends le parti de considérer les deux choses bien à part dans leurs domaines respectifs (quand c'est possible car comment éviter les idées préconçues quand on a lu le livre?).
les acteurs jouent bien .. mais le texte est complètement dénaturé et vidé de son sens, devient vite incompréhensible pour ceux qui n'ont pas lu le livre et insoutenable pour ceux qui l'ont lu !!! A éviter d'urgence !
Tazir, si tu l'as lu, comment peux-tu savoir ce qu'on ressent quand ça n'est pas le cas? Moi je ne savais même pas qu'il y avait un livre, et ça ne m'a pas donné de migraine... J'ai adoré en 2003, et j'y retourne bientôt! Je crois qu'il est vain de comparer les adaptations ciné ou théâtre aux oeuvres littéraires originales. Le débat est vieux comme la littérature, moi je prends le parti de considérer les deux choses bien à part dans leurs domaines respectifs (quand c'est possible car comment éviter les idées préconçues quand on a lu le livre?).
les acteurs jouent bien .. mais le texte est complètement dénaturé et vidé de son sens, devient vite incompréhensible pour ceux qui n'ont pas lu le livre et insoutenable pour ceux qui l'ont lu !!! A éviter d'urgence !
Square de l'Opéra-Louis Jouvet, 7 rue Boudreau 75009 Paris