« Toute fiction est une autobiographie fantasmée. » James Joyce
« Je mourus un bel après-midi d’automne, m’épargnant l’hiver que j’ai toujours détesté. » Ainsi s’ouvre le récit au cours duquel l’héroïne va rencontrer… le créateur en personne. Mais il en faudrait plus pour impressionner cette athée qui refuse farouchement de croire ! Un débat s’engage…
Malgré un sujet plutôt sombre, cette nouvelle pétille de gaieté, d’irrévérence et d’amour pour la vie. En suivant la folle discussion de l’héroïne avec « l’Ange de la mort », puis avec le Patron, l’auteur nous invite au songe : cette vie vécue, est-ce un rêve pensé ? Toute vie est imagination. Et pour cette psychanalyste, il n’y a pas de honte à être soi-même, le désastre c’est d’être dans la vie sans y prendre goût.
Par La Cie de l’Oeil Nu.
- Je pense qu’un monsieur qui surgit devant moi à peu près nu, avec des angelots pour toute pudeur et l’air de sortir du plafond de la Sixtine, n’est pas un critère valable pour la réalité…
- Tu es irrévérencieuse.
- Peut-être. Mais vous-même : de quel droit me tutoyez-vous ? Nous ne sommes pas intimes.
- Je tutoie toutes mes créatures.
- Je refuse que vous m’y comptiez, Monsieur. Ce pronom possessif m’agace. Je veux, si je suis morte, n’appartenir qu’à moi-même.
Salut! Cavas? me yes. Je t'écri se mots pour te dire que ton spectacle "Dieu et Moi" et trop trop trop trop bien. Allait je te laisse! Théo
Salut! Cavas? me yes. Je t'écri se mots pour te dire que ton spectacle "Dieu et Moi" et trop trop trop trop bien. Allait je te laisse! Théo
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