Nomination Molière 2011 dans les catégories meilleur spectacle du secteur privé et meilleur comédien.
Le 25 août 1944, les Alliés arrivent aux portes de Paris. Peu avant l'aube Dietrich von Choltitz (Niels Arestrup), Gouverneur du Grand Paris, se prépare sur ordre d'Adolf Hitler à faire sauter la capitale. Mais chacun d'entre nous sait que Paris ne sera pas détruit. Pour quelles raisons von Choltitz, un général nazi dont la loyauté à l'égard du IIIème Reich était sans borne, n'a-t-il pas exécuté les ordres du Führer ?
Une rencontre a peut-être changé le cours de l'histoire ; est-ce Raoul Nordling (André Dussollier), l'ambassadeur de Suède à Paris, qui aurait fait basculer l'opinion du général ?
« Chacun d'entre nous sait que Paris n'a pas brûlé en août 1944 comme l'avait ordonné Hitler. Alors pourquoi ? Pour quelles raisons von Choltitz (un général nazi dont la loyauté à l'égard du Reich était sans borne et sans soupçon) n'a-t-il pas exécuté ses ordres ? J'ai imaginé qu'une rencontre avait peut-être changé le cours de l'histoire. Raoul Nordling, l'ambassadeur de Suède à Paris, sera notre deuxième homme. L'intérêt de Diplomatie réside alors dans la négociation qui s'engage entre Nordling et Choltitz, et sur la façon dont l'ambassadeur va faire basculer l'opinion du général. » Cyril Gely (auteur)
Prix Théâtre 2010 Fondation Diane & Lucien Barrière.
« Août 1944 : Hitler a donné l'ordre de détruire Paris. Faut-il l'exécuter ? En mettant en scène un général allemand et un ambassadeur suédois, Diplomatie de Cyril Gély, renouvelle avec plaisir l'exercice du face à face imaginaire. Un jeu de chat et de souris, entre deux grands acteurs Niels Arestrup et André Dussollier : un duo saisissant. » Télérama
« L'idée de départ de Stephan Meldegg est risquée, mais géniale. Il a compté sur le savoir-faire des deux comédiens pour élaborer une mise en scène simple, juste et efficace. Il est en outre servi à bon escient par le décor spectaculaire de Stéphanie Jarre et les lumières raffinées de Roberto Venturi, qui fait véritablement lever le jour sur un Paris grandiose. » Le Figaro
« Décor, mise en scène, bande-son : tout est impeccable, dans le style « vieux théâtre » au meilleur sens du terme : celui qui vous prend par l’œil et l’oreille sans faire de chichis et sait d’autant mieux capter votre attention qu’il est servis par des acteurs parfaitement choisis. » Le Monde
Je sors de la pièce avec un avis mitigé. Dussolier inaudible au delà du 5eme rang, 2 acteurs ayant incontestablement du métier, mais qui paraissent les "mains en haut du guidon". Pas un mauvais spectacle, mais un peu surfait.
Cela nuit il a l'interpretation des deux grands comediens ?,sincerement je ne le pense pas . Etait il vrai que Hitler exercait sur son etat majour ce chantage autour des familles s'ils n'executaient pas ses ordres meme les plus fous? En tout cas , d'un point de vue strictement theatral , j'ai bien aime cette piece qui malgre ce theme autour de la guerre ,est un beau spectacle servi par de dialogues et une interpretation de grande qualite.je pense que le moment ou tout bascule se situe ds le secours que porte le consul au general allemand et peut etre, est ce la, qu'il prend vraiment conscience du mot "humanite"..A debattre....
En effet, Raoul Nordling n'était pas ambassadeur de Suède. Il était Consul. ça fait une grosse différence ? Et il était fou de Paris, c'est vrai.
Raoul Nordling n´a jamais été l´ambassadeur de Suède, en fait il a négocie avec von Choltitz sans aucun mandat. En consul général suédois il est l´agent commercial entre les entreprises suédoises et la France depuis longtemps. Nordling s´est présenté devant von Choltitz armé seulement de son amour profond pour Paris ce dont von Choltitz ne savait pas. Je ne crois pas que l´auteur en est conscient.
Je sors de la pièce avec un avis mitigé. Dussolier inaudible au delà du 5eme rang, 2 acteurs ayant incontestablement du métier, mais qui paraissent les "mains en haut du guidon". Pas un mauvais spectacle, mais un peu surfait.
Cela nuit il a l'interpretation des deux grands comediens ?,sincerement je ne le pense pas . Etait il vrai que Hitler exercait sur son etat majour ce chantage autour des familles s'ils n'executaient pas ses ordres meme les plus fous? En tout cas , d'un point de vue strictement theatral , j'ai bien aime cette piece qui malgre ce theme autour de la guerre ,est un beau spectacle servi par de dialogues et une interpretation de grande qualite.je pense que le moment ou tout bascule se situe ds le secours que porte le consul au general allemand et peut etre, est ce la, qu'il prend vraiment conscience du mot "humanite"..A debattre....
En effet, Raoul Nordling n'était pas ambassadeur de Suède. Il était Consul. ça fait une grosse différence ? Et il était fou de Paris, c'est vrai.
Raoul Nordling n´a jamais été l´ambassadeur de Suède, en fait il a négocie avec von Choltitz sans aucun mandat. En consul général suédois il est l´agent commercial entre les entreprises suédoises et la France depuis longtemps. Nordling s´est présenté devant von Choltitz armé seulement de son amour profond pour Paris ce dont von Choltitz ne savait pas. Je ne crois pas que l´auteur en est conscient.
21, avenue Louis Georgeon 94230 Cachan