Joseph Merrick, alias Elephant man, naquit à Leicester en Angleterre en 1862. Avant l’âge de deux ans, son corps commença de se déformer. Ses difformités croissantes le firent chasser de partout et ne lui permirent pas de garder un emploi. Admis un temps dans un hospice, il le quitta pour devenir phénomène de foire sous le nom de l’Homme-éléphant.
C’est dans ces circonstances qu’il fut découvert par le chirurgien Frederick Treves, qui étudia son cas et organisa sa prise en charge à l’hôpital de Londres grâce à une levée de fond caritative. Il finit ses jours à 27 ans, de mort apparemment accidentelle.
Treves rédigera les souvenirs de sa relation avec Merrick. En 1977, l’auteur dramatique Bernard Pomerance s’inspire de ce carnet pour composer la pièce Elephant man, dont David Bowie interprétera le rôle-titre.
En 1980, c’est le film de David Lynch qui fait entrer Elephant Man dans la culture populaire. « Je ne suis pas un animal, je suis un être humain » : la réplique culte est aujourd’hui citée par nombre de gens qui n’ont même jamais vu le film…
Histoire vraie ayant accédé au rang de mythe, le cas de Merrick a de quoi fasciner. C’est un conte cruel, qui a connu bien des avatars et dont la morale pourrait se résumer ainsi : le monstre n’est jamais celui que l’on croit. La plus spectaculaire difformité physique peut cacher un trésor d’humanité quand la conformité apparente aux critères de la normalité recèle souvent une totale monstruosité morale.
« Dans un spectaculaire et asilaire décor de carrelage blanc où s'impriment de magnifiques morphings, JoeyStarr, grand fauve blessé anéanti par le monde, erre telle la créature de Frankenstein, miroir de toutes nos indifférences et turpitudes. Superbe, il est accompagné d'un autre « monstre », sacré celui-là, et communément accepté par la société victorienne du temps - la véritable et historique comédienne Madge Kendal » Fabienne Pascaud,Télérama T
« L’acteur excelle dans un jeu qui transmet autant de rage intérieure que de détresse, une fragilité et toute la misère vécue par les personnes exclues et différentes. Dans un monde d’effets spéciaux et d’images sensationnelles, Joeystarr est plus convaincant que tous les monstres maquillés et terrifiants. » Rolling Stone
Des cris, texte broyé,son affreux,… un entracte ? Pourquoi faire ? Quel dommage ... JoeyStarr appliqué, habité..peu mis en valeur Dalle magnifique....le reste..en roue libre Décevant
Non, le spectacle ne m'a pas plu et pourtant je me faisais une fête avec un si bon sujet et des acteurs de caractère. La mise en scène est plate, il n'y a pas de direction d'acteur, chacun joue sa partition sans aucun relief. Joe Starr est inexistant et Béatrice Dalle est banale. Tout manque de travail, d'envie, de subtilité. Seules les projections fonctionnent ainsi que le premier ballet de la jeune danseuse.
juste une petite remarque l"entracte de 20 minutes casse un peu de l'elan . si non trés bien et bravo belle performance de joey star et de béatrice dalle.
Pour 3 Notes
Des cris, texte broyé,son affreux,… un entracte ? Pourquoi faire ? Quel dommage ... JoeyStarr appliqué, habité..peu mis en valeur Dalle magnifique....le reste..en roue libre Décevant
Non, le spectacle ne m'a pas plu et pourtant je me faisais une fête avec un si bon sujet et des acteurs de caractère. La mise en scène est plate, il n'y a pas de direction d'acteur, chacun joue sa partition sans aucun relief. Joe Starr est inexistant et Béatrice Dalle est banale. Tout manque de travail, d'envie, de subtilité. Seules les projections fonctionnent ainsi que le premier ballet de la jeune danseuse.
juste une petite remarque l"entracte de 20 minutes casse un peu de l'elan . si non trés bien et bravo belle performance de joey star et de béatrice dalle.
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