En toute confiance

• Une comédie pleine d’humour

La nouvelle comédie de Donald Margulies (Dîner entre amis, Brooklyn boy). Elle a été sa muse. Il était amoureux d’elle. Devenu peintre célèbre, on s’arrache ses toiles « en toute confiance », il la retrouve quelques années plus tard mariée à un archéologue qui le déteste. Ces retrouvailles remettent tout en question. Sa gloire, sa richesse, l’authenticité de son art. Et elle, l’aime-t-elle encore ?

• La presse

"Jean Pierre Lorit est le peintre confronté à son histoire dans une poignante douceur grave. Barbara Schul interprète l’ex-amie qui a changé de vie avec grâce et un subtil sens de l’ambiguïté des sentiments. Jean Pierre Malo incarne le mari hostile en grand méchant loup mystérieux. Élodie Navarre s’impose avec une vraie singularité. Tous donnent de la chair et une émotion de concerto à cette œuvre." Les Échos, 11 octobre 2007

"Donald Margulies que l’on connait bien à la Comédie des Champs-Élysées puisque Michel Fagadau a déjà traduit et mis en scène Dîner entre amis et Brooklyn Boy. L’auteur a du savoir faire. C’est monté « cut » comme au cinéma et Fagadau excelle à suivre ce rythme." Le Figaro, 22 octobre 2007

"Il y a un univers Margulies et il y a un ton Margulies ; Michel Fagadau, qui a adapté la pièce, nous livre ici l’une de ses meilleures mises en scène, juste, sobre, rigoureuse. Quatre acteurs remarquables servent la pièce. La grâce, la pureté et la fermeté de Barbara Schultz, la netteté d’Élodie Navarre, le superbe détachement de Jean Pierre Malo et enfin l’ambiguïté tourmentée de Jean Pierre Lorit donnent à l’œuvre une résonnance délicate, grave et douloureuse." Figaro Magazine, 20 octobre 2007

"Dans la chronologie bousculée, les personnages acquièrent une épaisseur, une densité, une profondeur. Chaque interprète imprime sa marque : Jean-Pierre Lorit, grave te ambigu, Barbara Schultz, claire et forte, Jean-Pierre Malo, imposant, opaque, Élodie Navarre enfin dans une composition cocasse." Le Journal du dimanche, 14 octobre 2007

"Dirigés par Michel Fagadau, quatre virtuoses interprètent cette brillante partition. Sortis du spectacle, les personnages ne quittent pas notre esprit." Le Nouvel Obs, 11 octobre 2007

"Peut on imaginer porcelaine plus ravissante que Barbara Schulz ? (...) Avec beaucoup de délicatesse et d'intelligence, Michel Fagadau, adaptateur de la pièce avant d'en inventer la mise en scène dans une série de décors clairs, lumineux, dépouillés mais profondément raffinés, débusque les lièvres sans avoir l'air d'y toucher. On est émus. Les destins sont aussi sombres que les silhouettes paraissent aériennes. On admire que, dans notre atmosphère irrespirable de Paris fricophile, un spectacle de cette qualité puisse avoir vu le jour." Le Canard Enchaîné, 19 septembre 2007

"Une comédie américaine « drôle, un peu cynique et cruelle ». Barbara Schulz enchaine les succès." Le Parisien, 20 septembre 2007