Est-ce qu’on ne pourrait pas s’aimer un peu ?

Une femme court, éperdument amoureuse, un homme surgit, désespérément épris. Ils s’élancent l’un vers l’autre avec passion. Une musique venu e des cieux accompagne leur course avec lyrisme. Ils tendent les bras. La musique se fait de plus en plus forte. Ils ne sont plus qu’à quelques pas l’un de l’autre. La musique s’intensifie et ils s’enlacent. Un piano tombe du ciel et les écrase ! Noir !

« Aucune faille dans la maîtrise physique, dans la précision rythmique : la troupe puise à la gestique du cinéma muet, aux duos de pure clownerie, au vaudeville classique, à la chanson, au mime, à l’acrobatie, mais aussi aux textes amers et absurdes. » Le Soir - Michèle Friche

« A Huy, après Bruxelles, Spa ou Avignon, la Trac a encore fait un carton. C’est d’ailleurs épatant de voir à quel point un spectacle qui évoque les difficultés de s’aimer peut faire naître, dans la salle, une telle solidarité ! En sortant, on s’embrasserait presque… on se contentera de tirer un grand coup de chapeau à Eric De Staercke (qui rayonne dans un rôle à sa taille), à Sandrine Hooge (une révélation) et à Serge Bodart (le pianiste timide qui n’a pas son humour en poche)…Comme nous, ils rêveront de faire mieux et se régaleront d’une technique théâtrale qui flatte l’art éternel du clown. Un coup de cœur de la presse. » Le soir 12 septembre 2001 – Laurent Ancion

« L’amour traité par deux clowns et un musicien clownesque, histoire de prendre du recul et se dire « ça ne m’arrivera jamais » sauf que ça nous arrive à tous puisque tout est tiré de la réalité » Jaco Van Dormael