Ce Music-Hall onirique raconte le voyage nocturne de deux secrétaires en quête de l'âme soeur et de l'homme idéal... Au petit matin, il faut se rendre à l'évidence : le Prince charmant n'existe pas. C'est à l'amour de rendre le voisin de bureau prince et charmant !
Avec sa verve poétique et sa fantaisie jubilatoire, René de Obaldia est lui-même un fantasme, un ovni littéraire, un « académicien encore vert » , inventeur de « la littérature du plus léger que l'air » .
Adaptation : Pierre Jacquemont
Musique : Lionel Privat (Manon Landowski)
Concept scénique : Michel Lebois
Distribution en alternance.
Ah ! Ce ne sont pas les Innocentines. Cette fois, je me suis mis dans la peau d'une cinquantaine de femmes (sic). Femmes esseulées, cherchant « à corps perdu », au moyen de petites annonces, l'homme de leur vie, l'âme soeur, le mâle absolu, l'oiseau rare.
Elles nous livrent ici leurs fantasmes plus ou moins avouables. (...).
Petites annonces lancées comme des bouteilles à la mer, dramuscules poéticobaldinnes et qui prêtent plus à rire qu'à pleurer.
René de Obaldia
20, avenue Marc Sangnier 75014 Paris