Faustin Linyekula semble avoir déjà vécu plusieurs vies : danseur et chorégraphe natif de la République démocratique du Congo, il est à l’origine des Studios Kabako, structure pour la danse et le théâtre visuel, lieu d’échanges et de recherches. Depuis Spectacularly Empty, en 2001, il raconte son monde, ses blessures, avec une force singulière.
Il met en scène la musique ndombolo aussi bien que Bérénice de Racine avec les interprètes de la Comédie-Française. Avec Pour en finir avec Bérénice, Faustin Linyekula a justement voulu ramener son héroïne, reine de Palestine rejetée par Rome en raison du sang d’Orient qui coule dans ses veines, chez lui, à Kisangani, Congo. « Plonger ce texte, comme un espace clos, avec ses propres règles, ses propres logiques, dans la réalité du Congo d’aujourd’hui. Et observer comment cette réalité peut infiltrer, contaminer Bérénice », s’interroge Faustin Linyekula.
Il voit dans cette tragédie de Jean Racine bien des similitudes « avec cette époque troublée où l’on peine à reconnaître les peuples avec qui l’on partage depuis longtemps une histoire et une mémoire communes ». Servie par une troupe d’acteurs congolais, Pour en finir avec Bérénice fera entendre une langue porteuse d’espoir. Racine trouve dans cette création un autre élan par la grâce autant que par la rage d’un théâtre engagé et salvateur.
Philippe Noisette
Un article écrit par une jeune fille sans conscience de l'histoire de l'humanité et de son propre pays par rapport à son passé, un article écrit par une jeune enquête d'identité et qui a peur de se questionner par rapport à l'histoire caché de son pays. voilà toute la différence qui existe entre ceux qui jouent cette pièce et celle qui la juge, vu que l'art ne sert pour elle qu'à démontrer l'esthétique des mots, la beauté de ver...et non les propos d'une vie qui a existé et dont les gens ignorent. bref je trouve cet article bidon et sans connaissance de l'histoire.
Un article écrit par une jeune fille sans conscience de l'histoire de l'humanité et de son propre pays par rapport à son passé, un article écrit par une jeune enquête d'identité et qui a peur de se questionner par rapport à l'histoire caché de son pays. voilà toute la différence qui existe entre ceux qui jouent cette pièce et celle qui la juge, vu que l'art ne sert pour elle qu'à démontrer l'esthétique des mots, la beauté de ver...et non les propos d'une vie qui a existé et dont les gens ignorent. bref je trouve cet article bidon et sans connaissance de l'histoire.
1, Place du Trocadéro 75016 Paris