Mettant dos à dos sa contrebasse et ses synthétiseurs analogiques, Florentin Ginot dialogue avec les images allégoriques de la cinéaste allemande Janet Sinica. Le parasitage, le glitch et le bug forment une langue musicale qui invite à suivre nos égarements. Côté caméra, une déambulation fait naître des personnages muets, des figures antiques, cocasses. Dans ce bain de réminiscences, les fragments musicaux rencontrent les claquements cinétiques de l’électronique.
Mettant dos à dos sa contrebasse et ses synthétiseurs analogiques, Florentin Ginot nous ouvre son instrumentarium sonore, afin qu’il entre en résonnance avec les images allégoriques de la cinéaste allemande Janet Sinica.
Côté son, le parasitage, le glitch et le bug forment une langue musicale, à la fois étrange et familière, où l’acceptation de l’erreur devient une invitation à suivre nos égarements. Côté caméra, une déambulation dans une nuit qui voit naître de multiples personnages muets, figures antiques, cocasses, qui se croisent et prennent vie par la voix du performeur.
L’ensemble de ces sensations visuelles, sonores et lumineuses procure une expérience vibratoire, réparatrice. C’est en effet dans un bain de réminiscences que les fragments musicaux, fantômes, rencontrent les claquements cinétiques de l’électronique.
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