Coup de cœur HUMOUR & CAFÉ THEATRE Le 29 novembre 2013
Gaspard Louise Ciccone est né le 32 juin 1978 dans les faubourgs de Pittsburgh au Pakistan. Après une scolarité sans histoire effectuée dans une école coranique réputée de Neuilly, il rejoindra une banque privée suisse. Malgré l’ennui profond que lui inspirera ce métier il y fera une rencontre décisive qui le marquera à vie ; l’argent. Le coup de foudre est immédiat. Convaincu par ce dernier de quitter son travail pour ne se consacrer qu'à lui, il s'engagera à corps perdu dans la récolte de droits d'auteur en vue d'un achat immobilier dans le quartier huppé du Gold-drop aussi nommé la Goutte d’Or. Son spectacle est la conséquence de cette émouvante quête humaniste ; « faire un tour de piste, prendre le blé et se casser. »
Méchant, cynique, blasé, chez un autre corps de métier, le Gaspard passerait presque pour un enfant gâté. Sur scène en sa cruauté n’épargne personne, mais son écriture, juste et fine, fait toujours mouche et non content de faire rire, le jeune homme fait également réfléchir. Professionnel, Gaspard ne nous dira rien de son programme en avance. Un appât de plus pour un spectacle qui s’avère d’ores et déjà mordant.
Collaboration artistique : Angélique Lallemant.
1er prix à de nombreux Festivals (Paris fait sa comédie, Juste pour rire Nantes...). Prix Raymond Devos 2010.
La presse en parle
« Humour cruel, phrasé subtil, il tranche avec le tout-venant des comiques. » Le Parisien
« Derrière son air timide et son look d'étudiant se cache un véritable sniper verbal, jamais à court de répliques cinglantes. (...) Avec une acuité désarmante, Gaspard observe les travers des gens et les passe tous les jours à la moulinette. (...) Comparé par certains au regretté Pierre Desproges, Gaspard symbolise surtout l'esprit décomplexé de la nouvelle génération. » Boris Tampigny, Métro
« Bombe anatomique du rire. » JDD
« La salle est pliée de rire. » 20 minutes
« C’est le nouveau comique qu’on va adorer détester. » Elle
« Humour particulièrement abrasif. (...) A 34 ans, on considérera son show Enfin sur scène ? comme un coup d’éclat. » Gilles Renault - Libération
« Misogyne, cynique, antipathique, Gaspard Proust aligne des horreurs sur les maladies, fait voler les tabous sur le sexe et la religion, broie des statues (Guy Môquet, Brassens, Barbara)... L'humour noir est porté par une écriture travaillée au rasoir. » Gilles Médioni, L'Express
« Brillant. » Le Figaro
« Stéphane Guillon passe presque pour un gentil » Le Point
« Précipitez-vous » Le Pariscope
« A découvrir » France Info
« A mi-chemin entre Woody Allen et Pierre Desproges (...) déjanté et cynique à souhait. » France Soir
Enfin un auteur intelligent, tout simplement.
Ce garçon est intelligent et a de l'humour mais son spectacle est décousu. On assiste à une suite de propos dont certains sont justes et drôles mais l'ensemble manque d'un fil conducteur, d'un véritable style. C'est surtout une juxtaposition de mini-sketchs. La deuxième partie sur les femmes tombe à plat.
Gaspard Proust est un tueur. Tueur d'idées reçues en tout genre, tueur de tous ces conformismes bien trop souvent acceptés, tueur d'effets faciles & de vannes convenues, tueur même des conventions théatrales qu'il envoie valser dés le début de son entrée en scene, histoire de donner le ton à ceux qui se seraient égarés dans la salle par inadvertance. Un spectacle plus long (1h30), plus dense et plus efficace (subjectif..) que son premier en 2007 à La Loge Théatre qui me l'avait fait découvrir. Avec toujours quelques imitations, des spectateurs pris à partie, le sketch de l'homélie décalée et la traditionnelle complainte du briquet pour terminer. Dans la salle ce samedi soir de première (entre autres..): messieurs Ruquier Lolo, Miller Gégé, Tesson Philou, etc.. dont les avis seront à surveiller dans leurs prochaines interventions médiatiques respectives pour conformité avec la réalité de ce soir qui était simplement une réussite. Gaspard Proust est un phénomène.
Pour 2 Notes
Enfin un auteur intelligent, tout simplement.
Ce garçon est intelligent et a de l'humour mais son spectacle est décousu. On assiste à une suite de propos dont certains sont justes et drôles mais l'ensemble manque d'un fil conducteur, d'un véritable style. C'est surtout une juxtaposition de mini-sketchs. La deuxième partie sur les femmes tombe à plat.
Gaspard Proust est un tueur. Tueur d'idées reçues en tout genre, tueur de tous ces conformismes bien trop souvent acceptés, tueur d'effets faciles & de vannes convenues, tueur même des conventions théatrales qu'il envoie valser dés le début de son entrée en scene, histoire de donner le ton à ceux qui se seraient égarés dans la salle par inadvertance. Un spectacle plus long (1h30), plus dense et plus efficace (subjectif..) que son premier en 2007 à La Loge Théatre qui me l'avait fait découvrir. Avec toujours quelques imitations, des spectateurs pris à partie, le sketch de l'homélie décalée et la traditionnelle complainte du briquet pour terminer. Dans la salle ce samedi soir de première (entre autres..): messieurs Ruquier Lolo, Miller Gégé, Tesson Philou, etc.. dont les avis seront à surveiller dans leurs prochaines interventions médiatiques respectives pour conformité avec la réalité de ce soir qui était simplement une réussite. Gaspard Proust est un phénomène.
1, place du Châtelet 75001 Paris