Une soirée musique et théâtre en hommage à Romain Rolland, prolifique auteur d’une œuvre musicographique de premier ordre.
Beethoven : Quatuor à cordes n° 13 op. 130 - Grande fugue op. 133
Dernières notes – La dernière soirée de Romain Rolland, pièce de théâtre de Michel Mollard
Il y a quatre-vingts ans mourait Romain Rolland, prix Nobel de littérature 1915, conscience planétaire de toute une génération, apôtre à la suite de Goethe de la « littérature mondiale », musicien auteur d’un Beethoven monumental qui reste la référence incontournable pour qui s’intéresse au compositeur. A la veille de sa mort, retiré à Vézelay, l’écrivain a eu un dernier souhait : jouer l’opus 111, la dernière sonate du maître de Bonn, à qui il avait fini par s’identifier. Tel est le thème de la pièce Dernières notes de Michel Mollard qui, après sa création couronnée de succès l’année dernière, arrive sur la scène du Théâtre des Champs-Elysées, avec le pianiste - et comédien - Guilhem Fabre dans le rôle de Romain Rolland. En première partie, le quatuor Tchalik nous emmène sur d’autres cimes beethovéniennes avec le 13e quatuor et la granitique Grande fugue.
15, avenue Montaigne 75008 Paris