Basé sur des témoignages de victimes du tremblement de terre de Los Angeles en 1994, I was looking at the ceiling and then I saw the sky met en scène les vies de sept habitants d’un quartier pauvre de la ville. S’inspirant de l’opéra classique autant que des comédies musicales de Broadway, John Adams et June Jordan ont conçu un objet sonore et dramatique d’un genre nouveau.
Opéra chanté en anglais surtitré en français.
Si les opéras se nourrissent des situations dramatiques, en voici une qui l’est plus que toute autre : vous regardez le plafond et le ciel apparaît ; le sol se dérobe sous vos pieds, tout s’effondre. Basé sur des témoignages de victimes du tremblement de terre de Los Angeles en 1994, le livret met en scène les vies de sept habitants d’un quartier pauvre de la ville : un jeune délinquant, une avocate idéaliste, un prédicateur Don Juan… Leurs vies vont être secouées, réduites en ruines… et peut-être reconstruites.
S’inspirant de l’opéra classique autant que des comédies musicales de Broadway, le célèbre compositeur minimaliste John Adams et la librettiste June Jordan ont conçu un objet sonore et dramatique d’un genre nouveau. « Ils ont su tisser une histoire réelle avec une musique très métissée, un sujet touchant de près les jeunes d’aujourd’hui avec des sonorités qui leurs sont familières en une organisation subtile, intelligente et pleine de sens », écrivent Marianne Pousseur et Enrico Bagnoli, qui ont décidé, au lendemain des attentats de Paris, de proposer ce projet à de jeunes musiciens, étudiants au Conservatoire de Bruxelles.
Croisant les chemins « des chanteurs lyriques avec des musiciens de jazz, des étudiants avec des professionnels, le public ‘jeune’ avec des artistes ‘jeunes’ » , le spectacle fait l’apologie des métissages, entre les musiques et les esthétiques, entre le réalisme du propos documentaire et les magies spectaculaires de la Compagnie Khroma.
« C’est un bijou (malgré le tas de ruines) » La libre Belgique
« Nul spectateur, assurément ne regarde le plafond dans ce spectacle qui dévoile aussi, habillement, un petit coin de ciel musical. » Soline Heurtebise, Olyrix
Ce fût un plaisir d'assister à ce spectacle, une œuvre qui pour moi fait partie du répertoire . Les interprètes ont fait preuve d'une belle prouesse car c'est une œuvre difficile et comme les grands professionnels qu'ils sont nous ont fait croire que cela était facile. Mille mercis et bonne continuation. PS : quand je parle des interprètes j'inclus le chef et les instrumentistes.
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Ce fût un plaisir d'assister à ce spectacle, une œuvre qui pour moi fait partie du répertoire . Les interprètes ont fait preuve d'une belle prouesse car c'est une œuvre difficile et comme les grands professionnels qu'ils sont nous ont fait croire que cela était facile. Mille mercis et bonne continuation. PS : quand je parle des interprètes j'inclus le chef et les instrumentistes.
Square de l'Opéra-Louis Jouvet, 7 rue Boudreau 75009 Paris