C’est l’anniversaire de Lo. Une bougie brûle sur un gâteau mais toute la famille Tardi Muller retient son souffle. Qu’est-il arrivé ? La scène se rejoue, se distord, se débat et nous entraine dans leur incroyable passé, notre futur.
C’est l’anniversaire de Lo. Une bougie brûle sur un gâteau mais toute la famille Tardi Muller retient son souffle. Qu’est-il arrivé ? La scène se rejoue, se distord, se débat et nous entraine dans leur incroyable passé, notre futur.
Il faudra que tu m’aimes le jour où j’aimerai pour la première fois sans toi est un conte absurde, poétique et déjanté sur un monde en pleine crise d’adolescence.
Une famille, deux adolescentes, trois histoires d’amour, un lycée exsangue aux professeurs follement baroques et tristement dépassés, le dernier hamster russe de toute l’histoire de la Terre, une arme chargée, la main d’un jeune homme, la première fois, et tout au fond là-dedans, un bout de ce qu’on pense être la maternité, le devoir de parent et celui d’enfant.
Comment se reconstruire et reconstruire sa famille sur les ruines d’une civilisation que l’on croyait bâtir ?
« C’est foutraque, vivant, décalé et dans l’air du temps, hyper attachant et perturbant. Ça se passe dans un futur proche qui ressemble à notre présent, c’est inclusif et généreux, ça déborde de partout, ça bouscule et en fin de compte, on réalise qu’on a les larmes aux yeux et la chair de poule sans savoir par où l’émotion s’est infiltrée, par quel canal, par quelle ruse, par quel chemin. Car on a eu l’impression tout du long de faire du hors-piste. Le cœur en apesanteur perforé de sensations fortes imprévisibles et imprévues. » Sceneweb
« Alexandra Cismondi imagine une dystopie en forme de conte absurde, poétique et déjanté, autour d’une famille qui plonge dans l’abîme creusé par une crise d’adolescence cruelle et tragique. » La Terrasse
« Le texte d’Alexandra Cismondi nous plonge dans un monde grotesque (et finalement pas si futuriste que cela) qui questionne avec brio les affres de l’adolescence et les dérives de notre société. » Zone Critique
« Alexandra Cismondi joue avec toutes les émotions. C’est énergique et ça fait du bien. » La Provence
« Entre mise en scène novatrice, beauté du texte, comédiens au jeu maitrisé et quatrième mûr excellemment brisé, on ne saisit pas l’absurdité apparente si bien qu’on s’irrite encore davantage sur ce mélange d’astucieux, de beau, de fatuité et d’abstrait. (...) Si vous avez l’âme aventurière, que vous aimez être chatouillé, surpris voir bousculé, précipitez-vous sur cette pièce qui relève du génie. Vous allez détester être dans l’impatience. Vous allez adorer sortir de votre torpeur. Étonnamment brillant. » Le Monde du ciné
Cette pièce contemporaine aborde de manière atypique des questions qui, de fait, se révèlent d'actualité. Le questionnement des adolescents face à leurs sentiments et à la société qui les heurte et les attire tout à la fois. L'approche et la gestion devant ces rejets emplis de doutes et de violences qui dépassent notre compréhension... Questions hélas, bien actuelles
Pour 1 Notes
Cette pièce contemporaine aborde de manière atypique des questions qui, de fait, se révèlent d'actualité. Le questionnement des adolescents face à leurs sentiments et à la société qui les heurte et les attire tout à la fois. L'approche et la gestion devant ces rejets emplis de doutes et de violences qui dépassent notre compréhension... Questions hélas, bien actuelles
211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris