Ça commence comme un cabaret fantomatique. Et, soudain, le public est invité à tirer au sort la durée du spectacle et l’ordre des actes... Entre chœurs de l’Armée Soviétique qui closent chaque acte et danse tzigane échevelée qui met en place l’ acte suivant, l’œuvre de Daniil Harms s’égrène, ironique, absurde, iconoclaste. Sûr que ça ne pouvait pas plaire au père Staline. Ainsi, le public a la place du pouvoir. Ou bien sa participation ne serait-elle qu’une mascarade ?
Par la compagnie Zed Quatre.
2, passage du Bureau 75011 Paris