Lorsqu’il demande Iris en mariage, le professeur Anselme est loin de se douter des conséquences de son acte… En racontant la vie singulière d’Anselme, Hermann Hesse nous rappelle que les hommes ont toujours eu besoin des femmes et de la nature pour être guidés vers l’essentiel.
Avec Iris, Hermann Hesse pose une question fondamentale : sommes-nous capables de voir et d’entendre au-delà des apparences ?
« Gérard Etienne, lui, est un magnifique comédien amoureux des beaux textes. La rencontre fait mouche. » Figaroscope N°2, Jean-Luc Jeener
« La voix douce de Gérard Etienne a quelque chose de fascinant, presque hypnotique, et on se retrouve pendu à ses lèvres. Il ne joue pas Anselme, ni iris, mais nous les raconte si bien, qu'il nous les rend vivants, palpables. » Froggy Delight, Cécile Beyssac
« Le comédien Gérard Etienne adopte un ton simple et sa mise en scène dépouillée laisse toute sa place à la puissance du texte. » La vie, Marie Baget
« On est bercé par une poésie riche et néanmoins limpide. Et on ressort de là pacifié et émerveillé. » France catholique, Pierre François
« Plutôt que de déprimer, on file écouter ce conte merveilleux de Herman Hesse… Habité par une belle croyance en son sujet, Gérard Etienne, interprète, metteur en scène et amateur audacieux de chemins de traverse, trouve le ton juste pour se faire capteur des secousses souterraines d’Anselme. Il se glisse dans la psyché morcelée de cet homme au flou, portant avec une belle économie de moyens les tâtonnements de son personnage et l’épaisseur de son mystère. Pas de démonstrations, pas d’effets : une scène nue, un comédien investi et la puissance du verbe pour retrouver l’enchantement originel du monde. L’idée est belle. » À nous Paris, Myriem Hajoui
« Inconditionnel d’Herman Hesse ou tout simplement amoureux de la belle langue ? Allez très vite entendre Iris, un texte magnifique et peu connu de l’auteur de Siddharta, maître à penser de toute une génération, que Gérard Etienne met en scène et joue de manière réellement inspirée… Il sait aussi s’effacer derrière la magie absolue de ce texte qui enveloppe, transporte, enchante. A la fin, sa voix, mince comme un souffle, nous laisse plein de ces rêves auxquels nous avions nous aussi peut-être trop vite renoncé. » Le monde des religions.fr, Florence Quentin
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