Denis Lavant partage la scène avec Samuel Mercer, autre clown métaphysique. Le duo se lance dans l’exploration des Carnets, plongée dans le burlesque désespéré d’une œuvre à mille entrées, pleine de noirceurs et de drôleries, de détours philosophiques et d’alcôves surréalistes. À partir de 15 ans.
À partir de 15 ans.
Les personnages sont pris entre deux pôles : exister et créer. Ils s’affrontent, se détruisent et se reconstruisent au fil de leurs contradictions, de leurs conflits intérieurs, leurs dilemmes affectifs et leurs obsessions.
Je ne suis pas de moi n’est pas une biographie de Roland Dubillard mais une tentative d’exprimer la rébellion qui se dégage de son journal. Nous avons disséqué « cette vie de mots » en quatre séquences qui respectent les étapes décisives de son existence : l’enfance, l’âge adulte, la chute et la survie après l’accident. La révolte de Dubillard nous rappelle nos méandres actuels : est-il possible de se confronter au monde sans béquille, sans pacotille, et de vivre malgré tout ? Comment retrouver la joie de s’étonner de tout. Mais avec tout cela, on est jamais tranquille car « qui bien se connaît ne se porte pas forcément bien. »
Faire entendre la voix d’un artiste, à la fois poète, dramaturge et acteur qui n’en revient pas d’être né.
« Merveilleux, funambulesque. » Le Canard enchaîné
« Samuel Mercer, Denis Lavant jonglent, affrontent, esquivent. Fascinent. A sa santé éternelle d’auteur puissant du XXème siècle. » Armelle Héliot, Le Figaro
« Je ne suis pas de moi est une mine de réjouissances. » L'Humanité
Passé une excellente soirée. Les acteurs sont excellents, merveilleux, exceptionnels. Devis Lavant est fascinant, je resterais des heures à l’écouter.
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Passé une excellente soirée. Les acteurs sont excellents, merveilleux, exceptionnels. Devis Lavant est fascinant, je resterais des heures à l’écouter.
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