L'Astronome

La pièce  
Pourquoi L’Astronome ?
Les personnages

• La pièce

Deux femmes, Mûre et Agnès, se retrouvent dans la salle d’attente d’un psychanalyste mystérieusement absent. De tricot en valium, elles vont progressivement lier connaissance et partager souvenirs, histoires, craintes et espoirs, faisant revivre sur le plateau, par la magie de l’évocation amoureuse, les épisodes qui les ont liées à un homme surprenant, étrange, volatile… volage ? 

Quand les coïncidences se mêlent aux surprises, tous les ingrédients sont réunis pour un mélange plein d’incongru, de bizarre et d’humour.

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• Pourquoi L’Astronome ?

J’ai ressenti pour cette pièce un véritable coup de foudre. J’ai été séduite par le rapport entre les deux personnages féminins qui évolue et s’enrichit petit à petit. Le personnage masculin m’a intéressée par sa diversité, sa complexité, son caractère insaisissable. 

Mais cette pièce est surtout un joyau d’humour, qui ne se départit jamais d’une finesse et d’une légèreté particulièrement appréciables. Le rire nous surprend sans cesse, là où l’on ne s’y attendrait pas toujours.

Charlotte Erlih

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• Les personnages

« Ce que j’aime dans le personnage de Rita, c’est le mystère qui l’entoure. Qui est-elle vraiment, pourquoi intervient-elle à ce moment précis, que recherche-t-elle ? Double féminin de Jérôme, elle lui tient tête et rétablit l’équilibre homme-femme quelque peu perturbé jusque là. Après son intervention, on se rend compte que l’homme n’est pas seul à avoir le privilège de la manipulation... » Charlotte Erlih

« Je suis immédiatement tombé « amoureux » de la pièce. Je la trouve drôle, mais avant tout juste. Le personnage de Jérôme me plaît beaucoup. Il est l’homme charmant par définition puisque c’est son rôle, mais il a plein de faiblesses cachées, ce qui le rend en même temps petit garçon et fragile. » Benjamin Bassereau

« Ce qui me plaît chez Agnès, c’est sa « folie sympathique ». Elle est attachante car elle tombe toujours à côté. Un peu décalée et pas très au fait de ce qui se passe autour d’elle, seuls comptent ses enfants. Le reste glisse sur elle. C’est ce qui fait sa force et en même temps sa névrose. Elle peut paraître altruiste et dévouée, mais c’est une façon d’éviter de se retrouver face à elle-même, d’exister pour elle. » Sandrine de Brousse

« Vers la fin de la pièce, Jérôme dit à Mûre : « Il y a ces moments… Dans le bonheur ou alors dans la vraie souffrance quand tout a lâché… Ces moments où tu as l’impression que tu es toi-même, que tu te tiens dans la main. C’est à cela qu’il faut arriver. Tu te fais mal, hein ? Mais tu es comme ça. »
Mûre a besoin qu’on l’aide à apprécier la vie, à prendre des risques, à s’ouvrir aux autres et à s’engager, à surmonter sa peur de souffrir. C’est ce que Jérôme et Agnès vont, chacun à leur manière, lui apprendre. » Marianne Defer

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