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Le Dernier jour du jeûne et L’Envol des cigognes tissent, sous forme de diptyque, le fil d’une fabrique des mythes pour raconter l’histoire méditerranéenne d’une même famille ballottée entre guerre et exil.
L'envol des cigognes raconte bien plus que la famille déchirée par la guerre civile le monde qui s’abîme, le paradis perdu. Sur fond de rafales incessantes le quartier se fait écho des massacres, d’une Révolution volée, de fuite, alors que les femmes luttent pour que subsistent des oasis de tendresse et des moments de liesse, encore et malgré tout. Les mères protègent leurs enfants des coups de feu, les habitants se marient, troquent des cigarettes contre la dernière saucisse, rêvent de golf et tentent de sauver leur amour malgré la tempête.
« Ariane Mnouchkine nous accueille, non pas parce que certains d’entre nous étions membres de sa troupe, mais parce qu’elle sait qu’il y a là, dans notre travail, quelque chose qui ressemblerait à une promesse tenue. Quelque chose qui pourrait s’apparenter à un théâtre citoyen, un théâtre d’art. Tout comme elle, notre compagnie croit en la force de la beauté. Quand je dis nous, c’est d’une troupe que je parle. Nous sommes 26. Des hommes et femmes, toutes générations et corps de métier confondues, qui croyons en la force artistique de ce projet. Quelle chance d’avoir l’opportunité de célébrer cet évènement avec le public parisien ! » Simon Abkarian
« Sur fond de tragédies grecques et de réminiscences shakespeariennes, l’artiste déploie une fresque généreuse qui emprunte au théâtre sa souplesse et sa vitalité pour nous faire vivre un précipité d’émotions. » Joëlle Gayot, Télérama TT
« Tout en images, en couleurs, en saveurs. Tout en cadences fascinantes, tout en périodes élégiaques. Il a du style, de l’audace. » Le Figaro
« Que la langue et la plume de Simon Abkarian sont belles ! (...) Toute la troupe des comédiens est formidable. » Le Point
« L'ensemble dessine une fresque haute en couleur, où le politique sinue en tous sens dans les affects autour d'Ariane Ascaride, mirifique mère courage, mère Méditerranée au don de double vue. » L'Humanité
« Un torrent théâtral féministe et humaniste qui, en convoquant Eschyle, Pagnol et Shakespeare, emballe le public. » Les Echos
« C'est du grand théâtre, populaire, foisonnant et brillant. » Le Parisien
« Un Pagnol moyen-oriental, cet Abkarian. » Elle
« Un diptyque théâtral qui a au moins la force et la vertu de nous redonner du baume au cœur. » France Culture, la matinale
Pièce originale et dense mêlant les références classiques au monde contemporain, la tragédie à la comédie. Un texte riche, une mise en scène allégorique d'un quartier en guerre où la famille, l'amour et les mots s'avèrent aussi puissants que les armes. Bravo aux acteurs, on ne voit pas le temps passer.
C'est une guerre civile qui peut se dérouler au Liban, au Caucase, en Algérie ou ailleurs. Le texte a l'intelligence de ne pas la situer précisément. Mais c'est une terre où les sentiments religieux comptent, tout comme la force de la famille, si forte qu'elle ne se conçoit que comme élargie, et où l'on a le goût des évocations antiques. Une guerre qui oppose le voisin au voisin, qui déchaine la violence et personne n'est épargné par ces pulsions primaires. Mais c'est une pièce où 'on ne cesse de parler d'amour, on y aime même très fort. C'est la grande force de ce texte. Les acteurs sont excellents.
Texte, dialogues, troupe, mise en scène: rare perfection et grande émotion Accueil au théâtre: très cordial, également parfait
Une merveille d'intelligence, de sensibilité, d'élégance, de direction d'acteurs, de mise en scène inventive... Un texte fort sur un sujet, hélas toujours d'actualité. A ne pas rater
Pour 4 Notes
Pièce originale et dense mêlant les références classiques au monde contemporain, la tragédie à la comédie. Un texte riche, une mise en scène allégorique d'un quartier en guerre où la famille, l'amour et les mots s'avèrent aussi puissants que les armes. Bravo aux acteurs, on ne voit pas le temps passer.
C'est une guerre civile qui peut se dérouler au Liban, au Caucase, en Algérie ou ailleurs. Le texte a l'intelligence de ne pas la situer précisément. Mais c'est une terre où les sentiments religieux comptent, tout comme la force de la famille, si forte qu'elle ne se conçoit que comme élargie, et où l'on a le goût des évocations antiques. Une guerre qui oppose le voisin au voisin, qui déchaine la violence et personne n'est épargné par ces pulsions primaires. Mais c'est une pièce où 'on ne cesse de parler d'amour, on y aime même très fort. C'est la grande force de ce texte. Les acteurs sont excellents.
Texte, dialogues, troupe, mise en scène: rare perfection et grande émotion Accueil au théâtre: très cordial, également parfait
Une merveille d'intelligence, de sensibilité, d'élégance, de direction d'acteurs, de mise en scène inventive... Un texte fort sur un sujet, hélas toujours d'actualité. A ne pas rater
Cartoucherie - Route du Champ de Manœuvre 75012 Paris
Navette : Sortir en tête de ligne de métro, puis prendre soit la navette Cartoucherie (gratuite) garée sur la chaussée devant la station de taxis (départ toutes les quinze minutes, premier voyage 1h avant le début du spectacle) soit le bus 112, arrêt Cartoucherie.
En voiture : A partir de l'esplanade du château de Vincennes, longer le Parc Floral de Paris sur la droite par la route de la Pyramide. Au rond-point, tourner à gauche (parcours fléché).
Parking Cartoucherie, 2ème portail sur la gauche.