Au cœur d’un tourbillon d’émotions, les personnages plongent les spectateurs au cœur de deux histoires d’amour où le doute et la méfiance contrarient la passion.... Tel est pris qui croyait prendre !
D’ après La Délaissée de Max Maurey et l’Ours d’Anton Tchekhov. Les auteurs, Max Maurey, le Français et Anton Tchekhov, le Russe : deux manières passionnées d’appréhender les rapports homme/femme de la bourgeoisie à la veille de la révolution bolchevique et industrielle.
La mise en scène simple et rythmée entraîne les personnages dans un tourbillon d’émotions et plonge les spectateurs au cœur de deux histoires d’amour où le doute et la méfiance contrarient la passion.
je vais tâcher de donner un avis objectif, si vous êtes habitué de café théâtre et recherchez un spectacle un peu léger, pourquoi pas.. autrement vous risquez d'être bien déçu! Pourquoi ai-je eu l'impression de voir Christian Clavier sur scène en ce qui concerne la répartie masculine Thierry Degré? Avec force claquements de main sur la cuisse et rouge colère postillonante, prise à partie du public, il me semble que l'on s'éloigne un peu de ce que Tchekhov mérite.. En somme pas de grand frisson pour ce spectacle
je vais tâcher de donner un avis objectif, si vous êtes habitué de café théâtre et recherchez un spectacle un peu léger, pourquoi pas.. autrement vous risquez d'être bien déçu! Pourquoi ai-je eu l'impression de voir Christian Clavier sur scène en ce qui concerne la répartie masculine Thierry Degré? Avec force claquements de main sur la cuisse et rouge colère postillonante, prise à partie du public, il me semble que l'on s'éloigne un peu de ce que Tchekhov mérite.. En somme pas de grand frisson pour ce spectacle
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