Le génie de Tchekhov, c’est que le drame est aussi une comédie. Un défi pour le metteur en scène aujourd’hui : jouer l’un et l’autre à la fois. En même temps cocasse et triste, grave et léger.
Le génie de Tchekhov, c’est que le drame est aussi une comédie. Un défi pour le metteur en scène aujourd’hui : jouer l’un et l’autre à la fois. En même temps cocasse et triste, grave et léger.
Entre un monde qui finit et un monde qui va naître, La Cerisaie est pour moi le chef d’œuvre de Tchekhov. L’un des sommets absolus de l’esprit humain. Autour d’une maison qu’on perd, d’un jardin des cerises à l’abandon, s’affrontent des êtres aimantés par le profit et l’avenir, d’autres en proie aux souvenirs et à la passion de l’inutile.
Le génie de Tchekhov, c’est que le drame est aussi une comédie. Un défi pour le metteur en scène aujourd’hui : jouer l’un et l’autre à la fois. En même temps cocasse et triste, grave et léger.