« Je suis la jupe qui colle à la peau, je suis la peau sous la jupe, je suis la bretelle qui glisse sur l'épaule, je suis l'épaule soyeuse sous le coton, je suis les cheveux fous sur la nuque, je suis la nuque sous les doigts d'un homme ».
Une femme seule, assise devant nous. Avec délicatesse, elle raconte des histoires d'amour. Elle insiste avec minutie sur tous les détails intimes : les mains moites, le souffle court, la peau qui frémit sous les doigts. Elle parle avec fébrilité, comme si elle était en danger, comme si son cœur, sa vie, sa peau en dépendaient. Peu à peu, elle révèle ce qui la pousse à raconter et livre le secret insensé qu'un jeune homme lui a confié, un jour, dans un café.
« Ce sont des récits qui s’enchevêtrent, dits par des personnes différentes. Mama Prassinos les incarne tour à tour, sans rien changer à sa voix, à ses intonations, à sa gestuelle. Ce n’est pas ce qui importe. Ce qui importe, c’est la manière qu’elle a de nous dire tout cela, comme une confidence, un aveu, oh, rien de grave, au contraire, que des choses légères et de beaux souvenirs – es souvenirs d’amour, de premiers regards, d’embrasement. » Le Canard Enchaîné
« Mama Prassinos rêvait de jouer ce texte singulier. Où une femme raconte, se raconte, sans doute – elle raconte des histoires d’amour. Elle est précise, possède ce don des détails sensibles, sensuels. Mama, présence pure et frémissante, est une interprète très touchante. » Figaroscope
« Pas de voyeurisme. Juste des confidences. Celles de l’intime, de la rencontre, de la première fois, du premier amour, et ensuite de son absence, du vide qu’il laisse, de la solitude, du temps qui passe… » L’Humanité
« Mama Prassinos est remarquable, dense et troublant. L’intensité puissante et délicate qu’elle met dans son personnage nous saisit, nous convainc et nous sourit. Des frissons d’amour nous traversent, légers ou pénétrants tant l’interprétation est incarnée et les émotions vraies. » Spectatif
« Délicate entreprise que de vouloir parler d’amour en entraînant le spectateur dans une perception plus physique que mentale des sensations créées par la passion. C’est ce que vise ce court spectacle, nourri des souvenirs réels ou fantasmés d’une femme à qui un jeune homme révèle le secret de l’éternelle jouvence : écouter et raconter l’amour, le sien ou ceux des autres, pour retrouver, par la magie des mots, le goût des peaux, des haleines, des baisers. » Télérama
« Doute, revirements, emballements, son personnage mi-enfant mi-femme meurtrie nous fait partager tout cela. Du grand art. » RegArts
« Fort en moments émouvants, ne connaissant aucun temps faible, pratiquant souvent les ruptures de ton, La Peau d’Elisa pourrait donner à son interprète la tentation et l’occasion de cabotiner, de fournir à bon compte un sacré « numéro d’actrice ». » Froggy’s Delight
Vu le 1er soir : magique, plein de sensibilité, débordant d'émotions, transportant,... Ne le manquez pas !
Un spectacle d'une grande sensibilité ! Mama Prassinos nous embarque avec talent dans une quête fantasmagorique d'amour dont nous avons tous besoin ! ! Participez à l'aventure ! !!
Vu à Avignon....spectacle plein d émotions l actrice est sublime et ne nous laisse pas insensible.....allez voir cette pièce vous ne regretterait pas. Odile
Pour 3 Notes
Vu le 1er soir : magique, plein de sensibilité, débordant d'émotions, transportant,... Ne le manquez pas !
Un spectacle d'une grande sensibilité ! Mama Prassinos nous embarque avec talent dans une quête fantasmagorique d'amour dont nous avons tous besoin ! ! Participez à l'aventure ! !!
Vu à Avignon....spectacle plein d émotions l actrice est sublime et ne nous laisse pas insensible.....allez voir cette pièce vous ne regretterait pas. Odile
7 rue Véron 75018 Paris