La femme n'existe pas

Bagnolet (93)
du 1 au 10 mars 2018
1h30

La femme n'existe pas

Barbara Métais-Chastanier a adapté La colonie de Marivaux, première pièce féministe du répertoire.
Tout commence par un naufrage, un groupe, une île. Fuyant la guerre, des hommes et des femmes, nobles et gens du peuple, s’approprient une terre pour y fonder une nouvelle société. Mais voilà que les femmes, dans ce nouveau monde, réclament de faire partie du gouvernement pour établir les lois et les institutions de demain. Des femmes au gouvernement ? Vous n’y pensez pas.
  • Une des premières pièces féministes

Tout commence par un naufrage, un groupe, une île. Fuyant la guerre, des hommes et des femmes, nobles et gens du peuple, s’approprient une terre pour y fonder une nouvelle société. Mais voilà que les femmes, dans ce nouveau monde, réclament de faire partie du gouvernement pour établir les lois et institutions de demain. Des femmes au gouvernement ? Vous n’y pensez pas.

Écrite en 1750, La Colonie de Marivaux est l’une des premières pièces féministes du répertoire mondial. Ce texte vieux de trois siècles est d’une actualité étonnante et met en évidence l’incroyable lenteur des progrès en termes d’égalités. Séduite par sa force de frappe joyeuse mais désireuse de creuser les liens qu’il entretient avec notre société, Keti Irubetagoyena a proposé à Barbara Métais-Chastanier d’en signer une lecture contemporaine : La Femme® n’existe pas.

Par la Cie Théâtre variable n°2.

  • La presse

« (...) On passe de deux registres de langue, à près de trois siècles d'écart, qui se font écho dans une subjugation intense. Le parti pris de la mise en scène évoque avec juste quelques accessoires et costumes, un bâtiment occupé et l'effervescence de la rébellion. Hommage aux comédiens (Bruno Coulon, Jézabel D'alexis, Nicolas Martel, Julie Moulier, Grace Seri) qui servent avec passion toutes les situations. » Marina Da Silva, L'Humanité, 5 mars 2018

« (…) Barbara Métais–Chastanier et Keti Irubetagoyena laissent entrevoir ce qui constituerait la plus grande révolution humaine (…) : l’égalité de droits entre les hommes et les femmes ; la suppression d’une domination d’un sexe sur un autre. (…) Les comédiens jouent tous les rôles, peu importe qui d’un homme ou d’une femme incarne un rôle féminin ou masculin. (…) Ce parti pris sert concrètement le propos et en prolonge même sa réflexion. (…) Au-delà du propos philosophique, le spectacle donne à voir des comédiens fabuleux (Bruno Coulon, Jézabel d’Alexis, Nicolas Martel, Julie Moulier et Grace Seri, remarquable !) qui s’en donnent à cœur-joie (…) Un beau spectacle, joyeux, sensible et intelligent.  » Julia Bianchi, Le Coryphée, 5 mars 2018

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Spectacle terminé depuis le samedi 10 mars 2018

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