Au pied d’un grand mur, l’émigrant, à la recherche d’un travail, en veste et casquette, une valise à la main comme unique souvenir. Soudain des bruits, des sons… la grande mécanique se met en route, et ainsi commence l’histoire…
L’histoire de ceux qui ont besogné dans l’ère industrielle, de ce monde qui laisse parfois à l’ouvrier résigné d’infimes chances de s’en sortir. Mais aussi les congés payés et le droit de se détendre…
" Jean-Michel Debarbat, avec toute la puissance et l’ardeur du poète, revisite la longue évolution de notre rapport au travail, son sens, ses luttes, ses victoires et ses échecs, et convoque un monde insolite où la drôlerie côtoie la cruauté, où le désespoir épouse joyeusement la fantaisie. Oh bien sûr ! Notre intention n’est pas de dire : « c’était mieux avant ! », on voudrait juste s’assurer que ce ne sera pas pire demain ! "
Caroline Boisson
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