Simon Pitaqaj croise le texte de Dostoïevski avec des extraits de L’Idiot des Frères Karamazov et du Dictateur de Charlie Chaplin. Il dresse le portrait fantasmagorique d’un individu lassé par la condition humaine, mais qui porte en lui l’espoir et le désir de vérité. Un rôle à la mesure du comédien Denis Lavant.
Le pas qui sépare le rêveur et le fou peut mener aux plus grandes tragédies humaines. Tandis qu’il rêve de son suicide, un homme va plonger dans un monde neuf aux allures de Paradis perdu. Mais très vite, son irruption va semer la discorde et la misère. À son réveil, rien ne sera plus pareil.
Simon Pitaqaj s’empare des textes les plus connus de Dostoïevski pour dresser le portrait fantasmagorique d’un individu lassé par la condition humaine mais qui porte en lui l’espoir et le désir de vérité. Dans le rôle-titre, Denis Lavant avance en équilibriste sur la frontière qui sépare l’homme nihiliste et l’homme utopiste.
« Cette fable nous raconte le caractère vain de l’expérience humaine. Il y a quelque chose dans l’homme, dès qu’il devient un être social concerné par ce qui l’entoure, de désespérant, quelque chose qui l’entraîne inévitablement vers la maladresse, l’erreur, la chute. » La Terrasse
Une pièce qui nous raconte des choses profondes sur l'Homme, à voir surtout pour Denis Lavant. Une première partie où il joue en solo et où il est éblouissant, une deuxième partie où il porte toute une troupe qui entoure "l'homme ridicule" et là encore il est éblouissant.
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Une pièce qui nous raconte des choses profondes sur l'Homme, à voir surtout pour Denis Lavant. Une première partie où il joue en solo et où il est éblouissant, une deuxième partie où il porte toute une troupe qui entoure "l'homme ridicule" et là encore il est éblouissant.
7, rue Louise Weiss 75013 Paris