Séquestré par ses parents, depuis son enfance, dans un espace réduit au strict minimum, ce n’est ni la folie ni un besoin de reconnaissance qui anime Le Captif, mais bel et bien le désir d’accéder à la maturité de l’esprit. Seule voie possible pour sa libération, ainsi que celle d’un certain Cléo-Clara, suscitant le questionnement de son genre.
Le processus psychologique de survie est en marche. Tout élément susceptible d’aider le captif dans sa survie est assimilé, décodé. Le moindre échange avec l’extérieur est décrypté.
Lentement mais sûrement, le captif se prépare à sa sortie...
Au-delà de cette histoire terrible, la pièce traite de l’enfermement, qu’il soit volontaire ou non, et des mécanismes de résilience associés qui se déclenchent ou pas...
Ne sommes-nous pas en premier lieu, tous, captifs de nous-mêmes...
Cette pièce retrace donc la dernière heure de captivité de cet enfant.
7 rue Véron 75018 Paris