Dans cette joyeuse partie de cartes, est-ce l’amour qui se vend à l’argent ou l’argent que l’on flambe pour l’amour ? Déconcertés, les personnages de Marivaux se ressaisissent avec Ronsard et reprennent souffle avec Schubert. Le Legs ouvre à 600 000 francs mais l’atout reste à coeur !
« Merci à Marion Bierry de nous offrir un si joli cadeau printanier au Théâtre de Poche avec cette version pastel et fine du Legs. (...) Une heure vingt de pur bonheur théâtral servie par six comédiens rompus à la délicatesse des sentiments. Un magnifique travail d’orfèvre à découvrir de toute urgence. Coup de coeur. » Hierautheatre, 15 mars 2014
« Six comédiens au diapason, unis pour rendre claire et révéler les beautés de la prose de Marivaux. Cette version ni poussiéreuse ni faussement moderne du Legs, mise en musique par Marion Bierry, devrait recueillir les suffrages de tous les amateurs des grands auteurs classiques français. » Philippe Person, Froggy's Delight, 24 mars 2014
« Le résultat est admirable. Tout n'est que délicatesse dans ce spectacle, servi par une distribution parfaite. » Pariscope, 16 avril 2014
« Quel charmant spectacle ! Marion Bierry est tout à son aise dans l'univers de Marivaux. Maîtrisant à merveille le petit plateau du Poche. Grâce au décor de Nicolas Sire, aux lumières d'André Diot, aux costumes conçus par elle, nous voilà chez Watteau. » Pariscope
« Sinan Bertrand et Estelle Andrea se glissent avec subtilité, légèreté dans les habits des domestiques manipulateurs. » Le Nouvel Economiste
« En marquis timide, Bernard Menez s'avère irrésistible. Il est de la catégorie des grands comédiens. Valérie Vogt incarne une marquise truculente, Marion Bierry une piquante Hortense, Gilles Vincent Kapps un chevalier profondément amoureux. Vrai charisme. Technique parfaite. » Le Nouvel Economiste
« Spectacle charmant, qui exalte les sentiments galants, en mettant en relief la cupidité des hommes. Les comédiens jouent et chantent ce poker menteur. La scène de la vrai fausse déclaration du Marquis à la Comtesse est irrésistible. On s'amuse comme des petits fous jusqu'à l'ultime poème de Ronsard » Les Echos
« Cette représentation d'une grande qualité donne à ce texte toute sa saveur et aussi les secrets de l'art de Marivaux. Cet art est de déclarer le contraire de ce que l'on ressent. Grâce et élégance sont au rendez-vous. » Fous de théâtre
« Dans un ravissant décor et des lumières subtiles, la comédie tout en moirures enchantées, qui mêlent cruauté et sentiments complexes, est illuminée par une idée délicieuse : sur des musiques de Schubert, des sonnets de Ronsart sont chantés par toute la troupe. Intelligent et original. » Figaroscope
« (...) menée d’un ton très sûr par Bernard Menez (photo, à droite) et Valérie Vogt (à gauche), cette version du Legs se révèle tout à fait recommandable. » René Solis, Libération, 27 avril 2014
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