Un ancien syndicaliste italien prend la plume pour interpeller deux amis communistes sur le silence qui suit depuis 1991 la dissolution de leur parti. De cette correspondance qui revisite, au fil d’une parole intime et libre et avec une rare probité intellectuelle, l’histoire du XXe siècle, Jean-Pierre Vincent a souhaité faire théâtre et l’adresser au public français, comme une leçon décalée d’autocritique et d’intelligence lucide.
En dépit de l’humilité radicale de sa forme scénique, Le Silence des communistes fut l’un des événements du Festival d’Avignon 2007.
D’après Vittorio Foa, Miriam Mafai, Alfredo Reichlin. Traduction : Jean-Pierre Vincent. Nouvelle distribution.
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